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  • De la dignité du Christianisme et de l’indignité des Chrétiens

    8,50 

    Le christianisme pénètre dans une époque totalement nouvelle, il devient désormais impossible de vivre sa foi extérieurement, de se borner à une dévotion rituelle ; les croyants devront prendre plus au sérieux la réalisation de leur christianisme dans la plénitude de la vie, ils devront défendre leur foi par leur personne, par leur vie, par leur fidélité au Christ et à ses principes, par l’opposition de l’amour à la haine du monde. Commander le livre

  • Destin de l’homme dans le monde actuel

    12,80 

    La jeunesse du monde entier cherche un ordre nouveau, et nous assistons à une révolution mondiale, sans éprouver toutefois la joie de la naissance d’un monde nouveau. L’ombre est descendue sur la terre, et nous sommes entrés dans un cycle de cataclysmes historiques et cosmiques. Or, c’est précisément pour les chrétiens que cette conviction n’entraîne pas le désespoir ; elle ne doit pas les empêcher de réaliser la vérité dans la vie, et de servir cette vérité ; car nous assistons à un retour aux sources, à une descente dans les profondeurs. Commander le livre Destin de l’homme dans le monde actuel

  • L’Homme et la Machine

    9,50 

    Pour le grec antique et l’homme du Moyen âge il existait un cosmos immuable, un système hiérarchique, un « ordo » éternel ; il existait pour Aristote comme pour saint Thomas d’Aquin. La notion même de l’ordre immuable de la nature était liée au principe de la téléologie objective. Et voici que la technique, sous la forme où elle triomphe dès la fin du XVIIIe siècle, détruit la foi en cet ordre éternel, et cela, d’une manière infiniment plus brutale et plus profonde que l’évolutionnisme. La technique est réaliste, elle ne reflète rien, elle crée une nouvelle réalité, tout en elle est présent. Elle soustrait l’homme aussi bien à la nature qu’à l’au-delà. La technique représente le dernier amour de l’homme qui est tout prêt, sous l’influence de cet amour, à modifier sa propre image. Commander le livre L’homme et la machine

  • L’idée Russe : Problèmes essentiels de la pensée russe au XIXe et début du XXe siècle

    15,50 

    Avec le XIXe siècle, le peuple russe, qui est longtemps demeuré à l’écart des grands courants culturels européens, prend conscience qu’il a quelque chose à apporter au monde. Les penseurs, méditant sur le destin et la vocation de la Russie, découvrent et actualisent ces valeurs longtemps méconnues. Une pensée originale naît qui révèle le dynamisme d’un peuple polarisé à l’extrême et enfermé dans ses contradictions. En Russie, tout est quête et recherche, perpétuel dépassement ; la pensée revêt un caractère prophétique et eschatologique. Les pages que Berdiaev consacre à des penseurs et écrivains comme Tolstoï, Dostoïevski, Herzen, Léontiev, parmi d’autres, sont sur ce point particulièrement significatives. L’issue logique de l’Idée Russe, c’est le chaos mouvant, la révolution mondiale… Jusqu’au jour où, les forces du mal ayant été extirpées, viendra la transfiguration du monde et l’avènement de la Cité céleste. Commander le livre

  • Le nouveau Moyen Âge : Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe

    15,95 

    L’expérience des temps modernes ne nous permet pas de retourner à l’ancien Moyen Age ; seul un nouveau Moyen Age est possible. L’appel à un nouveau Moyen Age, aujourd’hui, n’est qu’un appel à cette révolution de l’esprit, à un renouvellement total de la conscience. Commander le livre

  • Méditations sur l’Existence : Solitude, Société et Communauté

    11,50 

    Chacun sait comme le temps s’accélère ou se ralentit selon l’intensité de vie, selon les événements qui remplissent l’existence humaine. Le caractère mathématique du temps perd alors toute signification et l’existence humaine se libère de la montre et du calendrier. Si habituellement nous tenons tant à l’observation des heures, c’est que nous ne sommes guère heureux, c’est que nous sommes trop souvent misérables. L’inspiration créatrice elle aussi ignore le temps numérique. C’est toujours la marque de l’irruption de l’éternité dans le temps, dont elle règle le cours. Tout ce qui n’est pas éternel, tout ce qui n’a pas l’éternité pour origine et pour fin est dépourvu de toute valeur et destiné à disparaître; l’avenir lui réserve la mort, la fin dans le temps […] Le temps qui ne participe pas à l’éternité est une défection à l’égard de l’éternité. D’autre part, le temps est un moment de l’éternité et c’est en elle seulement qu’il trouve sa justification. Tel est le paradoxe à double tranchant du temps… Commander le livre