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  • Histoire de France

    12,10 

    Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation. Unique en Europe, la conformation de la France se prêtait à tous les échanges de courants, ceux du sang, ceux des idées. La France est un isthme, une voie de grande communication entre le Nord et le Midi. Il y avait, avant la conquête romaine, de prodigieuses différences entre la colonie grecque de Marseille et les Cimbres d’entre Seine et Loire ou les Belges d’entre Meuse et Seine. D’autres éléments se sont ajoutés au cours des siècles. Le mélange s’est formé peu à peu, ne laissant qu’une heureuse diversité. De là viennent la richesse intellectuelle et morale de la France, son équilibre, son génie. Jacques Bainville Commander le livre

  • L’Amérique aux Américains

    5,90 

    La doctrine du président Monroë (1823) demeure d’actualité elle est résumée dans ces trois mots : « America for Americans » c’est-à-dire l’Amérique aux Américains. Unanimement approuvée par tous les partis politiques aux États-Unis, le message présidentiel reçut un fort mauvais accueil de l’Europe continentale, indignée qu’une nation de parvenus voulut, au mépris des puissances civilisées du monde, faire prévaloir ce nouveau principe. Si, au contraire, le verdict d’approbation fut unanime aux États-Unis, c’est que Monroë avait résumé en quelques formules des idées qui, depuis des années déjà, trouvaient un écho dans le cœur des Américains. Un message toujours scandé avec la même vigueur 200 ans après, dans l’Amérique de Trump. Commander le livre

  • L’école primaire et le patriotisme

    8,50 

    Les instituteurs français n’ont pas à prévoir l’éducation qui conviendra aux générations des siècles futurs, mais ont pour mission d’élever les jeunes générations actuelles et de leur inspirer l’amour de leurs devoirs, au premier rang desquels se placent les devoirs envers la France. Commander le livre

  • L’Héritage de Clovis roi des Francs

    9,90 

    Né barbare, élevé parmi des barbares, le roi Clovis a trouvé dans son génie les moyens de s’élever au-dessus de l’ignorance de sa nation, et de comprendre les besoins d’ordre et de régularité qui seuls peuvent fonder un véritable empire. Cet esprit qu’on le vit développer si glorieusement pendant tout le cours de son règne à la suite à son baptême à Reims, s’est manifesté dès les premiers temps dans ses rapports avec ses hommes, c’est là que lui fût concilié, d’une manière si marquante, comme l’atteste l’épisode du vase de Soissons, leurs espérances et leur faveur. Commander le livre L’Héritage de Clovis roi des Francs

  • La Cour de Louis XIV

    11,90 

    On ne peut comprendre le rôle des femmes de Versailles qu’en étudiant d’abord le souverain qui fut l’âme de ce palais, et qui marqua de sa forte empreinte, non seulement son royaume, mais encore l’Europe tout entière. Jamais monarque n’exerça un pareil prestige personnel, et tout ce qui brillait autour de lui n’était qu’un pâle reflet de cette éblouissante lumière. Il faut observer le théâtre de cette destinée et montrer par quelle transformation miraculeuse un endroit triste et sombre, plein de sables mouvants et de marécages, sans vue, sans eau, sans forêt, fut façonné, pour ainsi dire, à l’image du Grand Roi, et devint une merveille, objet de l’admiration du monde entier. Commander le livre

  • La popularité de Napoléon

    6,00 

    Napoléon s’est merveilleusement acquitté de la seule mission qu’il eût reçue du ciel, celle de préparer le terrain pour un lointain avenir. Foudroyant symbole de l’égalité révolutionnaire et du droit souverain du génie, le soldat-roi résumait dans sa personne les idées même qu’il avait vaincues, et dont il aspirait la sève. Deux choses sont donc à distinguer dans Napoléon, deux choses qui donnent la clé de tant de jugements incohérents, de tant de contradictions apparentes : sa mission et sa politique, son œuvre et sa volonté. Par l’une, il marcha toujours vers le but assigné à sa vie, lors même que par l’autre il sembla vouloir s’en détourner. C’est pour cela que l’instinct du peuple l’absout dans ses fautes et le glorifie jusque dans ses abaissements. Le sceau de la Providence est sur cette tête ; elle est sacrée pour l’humanité tout entière. Commander le livre

  • La Terre et les morts : suivi de La Querelle des nationalistes et des cosmopolites

    6,90 

    La terre nous donne une discipline, et nous sommes les prolongements des ancêtres. Voilà sur quelle réalité nous devons nous fonder. Il faut raciner les individus dans la terre et dans les morts. Commander le livre

  • La Vocation de la Nation Française

    5,50 

    « C’est Dieu qui a fait les peuples et qui leur a partagé la terre, et c’est aussi Lui qui a fondé au milieu d’eux une société universelle et indivisible ; c’est lui qui a fait la France, et qui a fondé l’Église. De telle sorte que nous appartenons tous à deux cités, que nous sommes soumis à deux puissances, et que nous avons deux patries : la cité éternelle et la cité terrestre, la puissance spirituelle et la puissance temporelle, la patrie du sang et la patrie de la foi. Et ces deux patries, quoique distinctes, ne sont pas ennemies l’une de l’autre, bien loin de là ».
    Henri Lacordaire, de retour dans la chaire de la cathédrale de Paris, offre ici une clef pour réconcilier la France avec tout son passé, il ouvre la perspective d’un avenir conforme à son mérite et à sa gloire, la rupture de 1789 n’a pas anéanti le cœur de la nation. Commander le livre

  • Le Cardinal de Richelieu

    8,80 

    En remontant le cours des âges, l’histoire est jalonnée par ces hommes qui portent au front le signe indélébile de leur œuvre sociale. Charlemagne constitua la chrétienté par l’empire, Philippe-Auguste délimita la France, Du Guesclin et Jeanne d’Arc en ont assis la nationalité par une lutte populaire. Louis XI a fondé le système politique de la monarchie au sein de l’Europe moderne ; François Ier appliqua ce système avec plus d’héroïsme que d’intelligence ; Henri IV l’entrevit à travers les orages de son règne ; enfin le Cardinal de Richelieu vint, qui le premier l’embrassa d’un coup d’œil net et ferme, et eut à la fois assez de sagacité pour le comprendre dans ses plus minutieux détails et assez de puissance pour le faire triompher. Richelieu, ministre de Louis XIII entreprit d’élever, dans l’indépendance de sa force et l’originalité de son génie, l’édifice de la monarchie française. Commander le livre

  • Le gouvernement de Charlemagne

    7,80 

    Le couronnement de Charlemagne n’est pas un acte isolé ; il se rattache à une série de faits antérieurs qui l’ont amené et préparé. Quand on lit les textes de l’époque mérovingienne, on est frappé de voir combien le souvenir de l’empire romain s’était conservé chez les populations. On le rencontre partout, dans les édits des rois comme dans les formules des actes privés, dans les lettres de personnages de toute condition aussi bien que dans les chroniques. On suit de génération en génération les marques toujours visibles du respect qui s’attachait à cet ancien empire. Parmi ces écrits si divers, les uns nous viennent de Gallo-Romains, les autres de Germains ; leur ton à l’égard de l’empire est le même. Jamais un mot de haine ou de mépris ; le seul sentiment qui se laisse voir, sans distinction de race, est celui de la vénération. Commander le livre

  • Le Jubilé de Jeanne d’Arc

    6,80 

    Domrémy-la-Pucelle, ce n’est pas là un pays vide et creux, c’est une terre toute pleine, chargée d’esprit ! Jeanne s’y appuie sur un long passé et sur d’abondantes richesses imaginatives. Ce touchant village très simple, sur sa mince rivière, développe pour des yeux pénétrants des formes riches et variées de sens, un vaste horizon digne de celle qui en fait le point central. C’est un grand sujet à saisir et à considérer hardiment que l’ensemble formé par la petite maison natale accolée à son église, avec l’entourage que lui font la côte païenne du Bois-Chenu, la retraite si pure de Bermont et la côte romaine qui porte “le camp de Julien”. Pendant longtemps, ce paysage où grandit la petite fille, et tous ces beaux témoins de sa vie obscure, ne furent pour moi qu’un précieux bijou dans la solitude, un objet de vénération, une relique où nous avions à goûter les plaisirs de l’attendrissement plus que les bénéfices de la réflexion. Mais à chaque fois que je revois ce lieu saint, de puissantes clartés m’accueillent, et je parviens à saisir des rapports émouvants et vrais entre Jeanne et cette terre. Commander le livre

  • Le Lion des Flandres

    15,10 

    La Bataille de Courtrai oppose, le 11 juillet 1302, l’armée Française aux milices communales flamandes. Les chevaliers français, impatients de récolter les fruits d’une victoire qu’ils jugent facile, s’élancent dans la précipitation. Ils n’ont que peu d’espace pour manœuvrer et beaucoup s’embourbent dans les marécages. Les chevaliers trop lourdement armés ne parviennent pas à s’extirper du bourbier, et seront massacrés par les combattants Flamands. Le nombre de pertes du côté français est colossal, dans les rangs de la noblesse, plus de 60 comtes et barons, et plusieurs centaines de chevaliers perdent la vie. Quand aux Flamands ils n’ont à déplorer que quelques centaines de morts. Les troupes flamandes victorieuses ramènent comme trophées les éperons d’or des chevaliers tombés lors de la bataille. Ces trophées orneront l’église Notre-Dame de Courtrai. Pour les Flamands, cette victoire sonne le début de leur indépendance et la naissance du sentiment national. La date de la Bataille des Éperons d’Or est choisie comme date historique. Le Lion des Flandres (De Leeuw van Vlaenderen) écrit par Henri Conscience est devenu le livre culte de la communauté flamande. « Ils ne le dompteront pas, le fier Lion de Flandre » Commander le livre

  • Le procès de Jeanne d’Arc

    15,00 

    Les minutes du procès de condamnation de Jeanne d’Arc offrent l’image authentique de la plus grande sainte de notre histoire de France. Une jeune paysanne de 19 ans déjoue les pièges des docteurs de la loi. Ses réponses reflètent l’éclat de sa force et la pureté de sa foi. On se surprend, comme Jeanne, à garder l’espoir d’une autre issue. Commander le livre

  • Le Voyage de Marie-Antoinette : De Vienne à Versailles

    5,50 

    La Dauphine aperçut Louis XV. Elle courut se jeter à ses pieds, et parut un instant comme embarrassée sous son regard plus curieux que paternel. Louis XV la releva, l’embrassa tendrement, la trouva mieux que son portrait, la présenta au Dauphin qui, plus interdit qu’elle, la regardait presque à la dérobée, et, pour parler le langage officiel, « la salua à la joue. » Commander le livre

  • Les Derniers Vikings et les Premiers Rois du Nord

    9,90 

    Les vikings étaient indifféremment marins, fantassins ou cavaliers, selon que le demandaient les circonstances des expéditions. Leur costume était plutôt celui de marins que de soldats. Leurs navires étaient de belles galères, à cinquante rangs de rames, pouvant contenir de cent cinquante à deux cents hommes d’équipage, très allongées sur les flancs, très hautes et très recourbées à la poupe et à la proue. Artistement travaillées, peintes et dorées à leurs extrémités, munies de voiles composées de bandes alternées de couleur bleue, rouge et verte, décorées d’ornements et de figures sculptées, on les nommait dragons ou serpents de guerre, parce qu’elles présentaient la forme d’un serpent dont la proue montrait la tête, dont les flancs dessinaient les replis, et dont la poupe figurait la queue. Commander le livre

  • Napoléon

    11,50 

    Cette biographie de Napoléon a été saluée pour le sérieux de ses sources et la qualité de son écriture. Jacques Bainville traite son sujet sans préjugés, dépassant la simple narration pour approfondir et analyser les événements. Le portrait qu’il fait de Napoléon est criant de vérité, aussi bien par son génie que par ses dérives. Une œuvre majeure à redécouvrir à l’occasion du Bicentenaire de la mort de l’Empereur. Commander le livre Napoléon

  • Note sur la Suppression Générale des Partis Politiques

    5,00 

    Comment donner aux hommes qui composent le peuple de France la possibilité d’exprimer un jugement sur les grands problèmes de la vie publique ? Comment empêcher, au moment où le peuple est interrogé, que circule à travers lui des intérêts qui ne lui appartiennent pas ?
    Les solutions ne sont pas faciles à concevoir. Mais il est évident, après examen attentif, que toute solution impliquerait d’abord la suppression des partis politiques. Un tabou de l’homme démocratique moderne.
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  • Poèmes de Fresnes

    9,50 

    En 1944, Robert Brasillach, est arrêté et emprisonné à la prison de Fresnes, puis condamné à mort pour ses écrits, incarcéré dans sa cellule il attendait son exécution.Les Poèmes de Fresnes ont été écrits alors que l’auteur n’avait ni stylo ni papier. Il avait réussi à se procurer une plume qu’il cachait et du papier qu’il arrachait d’un carnet. C’est par son avocat que ces poèmes sont sortis de cette prison de Fresnes.