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  • Ce que l’Art doit à Napoléon

    7,70 

    Il faut donc reconnaître qu’il y a eu un art de l’Empire, et que cet art est dû à l’Empereur, tout autant, sinon plus, que l’art de la Renaissance est dû à Jules II, à Léon X ou à aucun des Mécènes de ce temps. Il n’a pas créé ses artistes, non plus que les Papes et les princes italiens n’ont créé les leurs, mais il a dirigé le peu de génie qu’il a trouvé autour de lui dans la voie où il pouvait le mieux déployer ses forces. Il ne lui a pas fixé de lois esthétiques, mais il l’a libéré. À cette école française, qu’il trouvait fourvoyée par les Allemands dans la superstition la plus pédantesque et la moins compréhensive qui fut jamais des formes et des héros antiques, il a dit: « Nous sommes là, nous autres ! » et cela suffit. Il l’a fait rentrer dans le siècle et en France. Commander le livre

  • Claude Debussy

    8,40 

    Rien ne prédestinait le jeune Debussy à devenir cet artiste unanimement reconnu. Sa musique est une long amour pur et spirituel. Il est : « le plus musicien des Français et le plus français des musiciens ». Peu de musiques ont eu autant de beauté que la sienne. Claude Debussy est un compositeur rare, par son écriture originale, il est l’un des pères du renouveau de la musique classique. Commander le livre

  • Cléopâtre : Maîtresse du Monde

    8,02 

    Cléopâtre est représentée en Isis, superbe, séduisante au plus haut-degré ; la beauté physique, c’est elle. Il suffit de contempler cette Cléopâtre pour comprendre la faiblesse de César ! La coiffure a beaucoup d’élégance et de distinction, les cheveux nattés en filet sur la tête pendent sur la nuque et les épaules en tresses nubiennes ; le visage est noble, fin, une aile se déploie à chaque tempe, et sur le front se dresse un petit serpent ; le sein, les bras sont nus, richement ornés de joyaux ; une ceinture presse la taille au-dessous de la gorge et maintient la tunique étroite qui descend jusqu’à la cheville; à ses pieds brillent des bijoux. Les inscriptions la désignent sous le vocable : « Cléopâtre, Maîtresse du Monde » Commander le livre

  • Étude sur La Mode

    5,50 

    Pourquoi l’art du vêtement est-il abandonné tout entier au caprice des tailleurs et des couturières, dans une civilisation où l’habit est d’une grande importance, puisque, par suite des idées morales et du climat, le nu n’y paraît jamais ? Le vêtement, à l’époque moderne, est devenu pour l’homme une sorte de peau dont il ne se sépare sous aucun prétexte et qui lui adhère comme le pelage à un animal, à ce point que la forme réelle du corps est de nos jours tout à fait tombée en oubli. Commander le livre

  • L’Esthétique des Tombeaux

    7,70 

    Le monument que chaque génération élève à la mort traduit, peut-être plus qu’aucune autre chose d’art, son sentiment sur la vie. Sentiment de regret pour la vie qu’elle a vécue, ou d’espérance en une autre meilleure, souvenir de la petite famille qu’elle a laissée sur la terre et qu’elle veut visiter encore, ou bien de la grande famille qu’elle possède déjà outre-tombe et qu’elle rêve de voir, peu importe. Nous créons toujours l’inconnu selon le connu. Nous donnons à la mort les formes de la vie, et, soit pour l’exalter, soit pour la maudire, l’Art n’a pas d’autre source où puiser. Commander le livre

  • L’Art Français : Origines, Art Roman et Art Gothique

    13,50 

    À l’époque préromane la Gaule romanisée s’affirme comme l’héritière de l’Antiquité et du Christianisme.
    L’expression première de notre art national, au XIe etXIIe siècles, est l’Art Roman il se caractérise principalement par un aspect massif des édifices et une grande sobriété des lignes. Ce que l’Art Roman attendait et pressentait, l’Art Gothique le réalise. Une pureté, une perfection de réalisation qui lui ont valu son rayonnement immense et une sorte de pérennité.
    Architecture et vitrail, peinture, sculpture. Dans ce récit passionnant l’auteur nous emmène à travers l’histoire et les arts. Un livre accessible et complet pour découvrir la splendeur de l’Art Français.
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  • La Joconde et le Mystère de l’éternel féminin

    8,02 

    Au solstice de l’âge mûr, le mystère de l’Éternel-Féminin se dressa devant lui en la personne de Mona Lisa. Aussi troublante qu’éblouissante fut la lumière qui jaillit pour lui de ce miroir magique. Car il parut, aux yeux de l’homme et de l’artiste, que ce mystère contenait les deux autres et les contre-balançait dans son équilibre instable. La Joconde devint ainsi le nœud gordien de sa vie intérieure et de ses plus hautes conceptions.On se figure aisément ce qu’éprouva Léonard à sa première rencontre avec Mona Lisa. Ce fut sans doute une surprise violente, accompagnée d’un profond émerveillement et d’une dilatation subite de son être. Il avait étudié bien des types féminins, il avait connu et portraituré les femmes les plus distinguées de l’époque, celles que les poètes contemporains appelaient les héroïnes du siècle. Il avait rencontré de somptueuses courtisanes d’une perversité séduisante et raffinée, il avait effleuré des vierges candides et suaves, dignes de servir de modèles à ses madones. Mais jamais il n’avait rencontré de femme pareille à celle-ci, capable de produire par sa simple présence une commotion aussi forte. Commander le livre

  • La Mode par l’Image : Portraits de Femmes du XIIe au XVIIIe siècle

    12,15 

    La place de la femme a beaucoup évolué au cours de l’histoire. Certaines ont su user de charmes et de tactiques pour se démarquer et parvenir à leurs fins. L’étude de la mode à travers les siècles se révèle particulièrement enrichissante. Héloïse, Jeanne de Flandre , Anne de Bretagne, Isabeau de Bavière, Diane de Poitiers, Catherine de Médicis, Marie Thérèse d’Autriche…Portraits illustrés de Femmes qui ont marqué l’histoire par leur statut et leur beauté. Commander le livre

  • La Symbolique de Notre Dame : Trois Églises et Trois Primitifs

    12,03 

    C’est à Victor Hugo, à Montalembert, à Viollet-le-Duc, que nous devons le réveil de louanges dont se pare maintenant l’art gothique, si méprisé par le XVIIe et le XVIIIe siècles, en France. L’âme des cathédrales existe. La symbolique est la science d’employer une figure ou une image comme signe d’une autre chose, elle a été la grande idée du Moyen Âge, sans elle, rien de ces époques lointaines ne s’explique. Comprenons qu’ici-bas tout est figuré, que les êtres et que les objets visibles sont les images lumineuses des choses invisibles, exprimées avec les formes matérielles variées de la vitre et de la pierre. Commander le livre

  • La Vénus de Milo : Son histoire et ses mystères

    7,50 

    Retrouvée sur l’île de Milos en avril 1820, la Vénus de Milo est une œuvre originale qui remonte à 150 – 130 avant Jésus-Christ. Son exposition au Louvre fit sensation, c’était la première fois qu’une statue grecque faisait sont entrée dans les collections du musée. Sa célébrité ne s’est jamais démentie depuis lors. On admire la grande beauté de son corps à demi dénudé, la Vénus fût aussi l’objet de polémiques suscitées par son identité et la position de ses bras. Ce livre retrace cette aventure hors-norme. Commander le livre

  • Le Mont Saint Michel et ses merveilles : Nouvelle édition illustrée

    10,40 

    D’une visite, même rapide, au Mont Saint-Michel, se dégage une impression d’admiration profonde pour les générations qui ont élevé ces murs et qui y ont vécu. Cette admiration n’est pas sans un certain mélange d’étonnement, en présence des proportions gigantesques qu’affectent toutes les parties du superbe édifice. Il semble que ceux qui ont construit ces immenses salles, ces cheminées énormes, ces degrés majestueux, aient été des colosses. À travers les pages, cet ouvrage s’efforce de reconstituer les scènes grandioses dont le Mont a été le théâtre, les principaux personnages ainsi que leur rôle dans l’édification et la pérennité du Mont Saint-Michel. Commander le livre

  • Le Mythe de Vénus

    8,01 

    De toutes les divinités de l’Olympe antique, une surtout reste encore vivante parmi nous, par la poésie et par les arts, c’est Vénus ; mère des Amours, déesse des plaisirs, type de la beauté féminine. La poésie lui a conservé, une grande popularité, quant aux sculpteurs et aux peintres, Vénus leur fournit un thème si propice pour représenter de belles formes nues, que l’art moderne rivalise avec celui des anciens pour nous la montrer sous toutes les attitudes. Il n’est pas une seule de nos expositions des beaux-arts où nous ne la voyions revenir avec quelque variante de pose ou d’accessoires…L’auteur nous fait découvrir dans ce livre le mythe de la déesse de l’Amour. Commander le livre

  • Le Sourire d’Athéna

    6,95 

    Le Parthénon, Que de tribulations n’a-t-il pas éprouvées ! À peine avait-il plus d’un siècle, — et c’est la petite jeunesse d’un monument, — il fut transformé en harem : Démétrios Poliorcète y installa ses courtisanes et lui. Le temple devint un palais, et voluptueux. Il nous est difficile d’imaginer qu’Athéna soit restée en telle compagnie. Ensuite, le temple devint une église chrétienne ; la statue chryséléphantine d’Athèna fut emportée à Constantinople, et la Théotokos, Vierge mère, la remplaça. Dans le pronaos, aménagé en abside, on établit l’autel, sur les murs, on peignit des fresques saintes, et l’on substitua au plafond une voûte qui eût la forme du ciel mystique. Commander le livre

  • Le Style Gothique : Architecture et Esthétique

    9,10 

    À ne les juger que par les impressions qu’elles produisent, impressions toutes de respect, de recueillement et de piété, les églises gothiques charment et touchent profondément; et c’est vainement que la froide et sévère raison s’efforce de détruire un effet qui s’adresse au goût et au sentiment. Les édifices de ce style qui couvrent notre pays, sont les monuments sacrés de notre culte, les témoins respectables de notre histoire; il s’agit de les entourer de tous les soins que leur vieillesse exige, que leur caducité réclame; il s’agit de les conserver, de les perpétuer, s’il est possible, aussi longtemps que les glorieux souvenirs qui les consacrent, aussi longtemps que vivra la langue et le génie de la France. Commander le livre

  • Les Parisiennes de Paris

    10,00 

    Paris, écoutez, je n’en rabattrai rien ! Paris tout entier vit dans une folie ardente, inguérissable, féconde, sublime, nourrice d’œuvres et d’efforts : la folie de l’Amour. Être aimé, aimer au milieu du luxe, tel est l’Idéal auquel sont gaiement sacrifiées toutes ces existences que broie l’impitoyable meule du Travail incessant.À Paris, derrière le milieu qu’on ambitionne, il y a toujours une figure de femme qui sourit et qui vous appelle avec le geste délicieux des sirènes. Ici les femmes savent comme nous quel est le but de la vie.À Paris seulement, elles sont déesses, adorées bien plutôt qu’aimées, et aussi elles ont la confiance et le respect de leur divinité. Sans cesse embellies et lavées à l’immortelle Jouvence, elles osent s’aimer elles-mêmes, et tâchent de gravir marche à marche l’escalier de cristal de la Perfection. Commander le livre

  • Lettres sur l’éducation esthétique de l’homme

    7,07 

    Ces textes, ont pour origine les lettres que Schiller adressa au duc Frédéric-Christian de Schleswig-Holstein entre février et décembre 1793. Schiller soutient que le problème politique ne peut être résolu que par l’esthétique. L’éducation esthétique ennoblit les hommes, ce qui est la condition de leur agir moral. Il est vain de chercher à établir la liberté politique avant l’éducation politique des hommes.Le texte propose une analyse des facultés humaines. Il y a selon lui deux facultés fondamentales : la nature sensible et la nature raisonnable. Commander le livre

  • Mozart et la Flûte enchantée

    6,90 

    On sait de quelle suite d’aventures picaresques fut produit ce glorieux chef-d’œuvre : “La Flûte Enchantée” Dans un temps où la sensibilité règne partout, qu’on imagine ce qu’une nature ainsi douée devait produire en musique. Mozart n’eut pas d’égal. Son être tout entier n’est que sensitivité, au point que les facultés d’observation, d’entendement, d’imagination, sembleraient, chez lui, n’exister uniquement que pour donner à la chose ressentie la forme et l’expression d’une œuvre d’art. L’émotion le gagnait au moindre prétexte, sa propre musique tirait des larmes de ses yeux. Du bestial Monostatos au prince Tamino, de l’humble initié du temple d’Isis au divin Sarastro, de Papagena à la reine de la Nuit, tragique sous son diadème d’étoiles, tous paraissent pénétrés du souffle de cette incomparable musique. Commander le livre