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  • Ce que le monde catholique doit à la France

    11,50 

    S’il est exact d’affirmer que dans le corps de l’Église chaque peuple a son rôle à jouer, le membre qu’est la France peut, sans fatuité, réclamer des autres membres reconnaissance et respect. Se tournant vers les catholiques du dehors, la France a le droit de leur dire : « Que vous le vouliez ou non, je tiens une place dans l’histoire de vos âmes ; je la tiens par mes soldats et par mes missionnaires, par mes penseurs et par mes artistes, par mes saints et par mes sanctuaires ; rentrez en vous-mêmes et connaissez-vous vous-mêmes ; vous y retrouverez quelque chose de mon apport. Commander le livre

  • Charles de Foucauld : Explorateur du Maroc, Ermite au Sahara : Canonisation en 2022

    12,50 

    Déclaré vénérable en avril 2001, puis béatifié en 2005, Charles de Foucauld (1858-1916) sera canonisé en 2022. René Bazin nous livre ici une biographie détaillée sur sa vie peu ordinaire et son oeuvre dans le pays des Touaregs. (Édition augmentée avec lettres et notes de Charles de Foucauld) « Il faut passer par le désert et y séjourner pour recevoir la grâce de Dieu. » Commander le livre

  • Chez les Moines de l’Athos : Un Jour de Toussaint

    6,80 

    L’Athos ! Le mot avait eu sur mon imagination d’enfant une puissance de magie. Dans mes rêves d’adolescent, le pèlerinage à l’Athos prenait les allures fantastiques d’une visite en des régions de mirage. Je ne savais point alors que la grande Madone du Ciel a seule droit de cité en la montagne sainte. L’Athos de mes songes surgissait, à l’appel de ma pensée, d’une mer bleu sombre, pareil à un gigantesque bastion de granit, aux pentes vertigineuses, aux parois très lisses, sur lequel, seul, un miracle du Ciel avait permis aux moines de se fixer. Et voici qu’aujourd’hui, fête de tous les saints, annonciatrice de l’hiver, le vieil Athos, drapé en son manteau automnal de grisailles ouaté de floconneuses brumes, se montre à mes yeux de dévot dans sa hiératique majesté de gardien éternel, veillant sur la cité sainte. Commander le livre

  • Cinq Prières dans la Cathédrale Notre-Dame de Chartres

    5,50 

    Les Cinq Prières dans la cathédrale de Chartres ont été écrites par Charles Péguy à la suite du pèlerinage qu’il fit pour rendre grâce à Marie de la guérison de son fils. Chaque année, des milliers d’étudiants parcourent les 96 kilomètres de route qui séparent Paris de Chartres. Comme des milliers d’hommes et de femmes l’ont fait des siècles avant eux, ils prennent leur bâton pour cheminer sur la route les menant vers le sanctuaire de la Vierge Mère. Commander le livre

  • Destin de l’homme dans le monde actuel

    12,80 

    La jeunesse du monde entier cherche un ordre nouveau, et nous assistons à une révolution mondiale, sans éprouver toutefois la joie de la naissance d’un monde nouveau. L’ombre est descendue sur la terre, et nous sommes entrés dans un cycle de cataclysmes historiques et cosmiques. Or, c’est précisément pour les chrétiens que cette conviction n’entraîne pas le désespoir ; elle ne doit pas les empêcher de réaliser la vérité dans la vie, et de servir cette vérité ; car nous assistons à un retour aux sources, à une descente dans les profondeurs. Commander le livre

  • Éloge de la Nouvelle Chevalerie

    6,50 

    Bernard, supérieur de l’abbaye de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153. Directeur de conscience et important promoteur de l’ordre cistercien, il recherche l’amour du Christ par la mortification la plus dure. Il fait preuve, toute sa vie, d’une activité inlassable pour instruire ses moines, pour émouvoir et entraîner les foules, pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l’Église catholique mettront en œuvre. C’est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque, marquée par une profonde transformation de l’économie, de la société et du pouvoir politique.Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l’Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. Avec son Éloge de la Nouvelle Chevalerie il dresse ici le portrait des Templiers et leur mission, une chevalerie destinée à défendre les lieux saints et la justice. Commander le livre

  • Ève

    12,04 

    Ô mère ensevelie hors du premier jardin, Vous n’avez plus connu ce climat de la grâce, Et la vasque et la source et la haute terrasse, Et le premier soleil sur le premier matin. Et les bondissements de la biche et du daim Nouant et dénouant leur course fraternelle Et courant et sautant et s’arrêtant soudain Pour mieux commémorer leur vigueur éternelle, Et pour bien mesurer leur force originelle Et pour poser leurs pas sur ces moelleux tapis, Et ces deux beaux coureurs sur soi-même tapis Afin de saluer leur lenteur solennelle. Avec ce texte remarquable, à la fois poétique et profond, Charles Péguy réalise une étonnante Prière à Ève première femme de l’humanité, aïeule et mère de la Vierge Marie. Commander le livre

  • Histoire de Sainte Odile : L’Alsace Chrétienne

    7,70 

    Sainte Odile est née avec l’Alsace, ou peut être mieux, l’Alsace est née avec sainte Odile. C’est avec l’humble et douce servante de Dieu qu’on voit se dégager du milieu de ténèbres profondes l’histoire de notre pays, et que l’Alsace apparaît avec ses ducs et ses comtes, avec sa foi chrétienne et ses monastères. Sainte Odile est là comme l’ange auprès d’un berceau, et nos pères ont eu raison de l’appeler la patronne de l’Alsace. Commander le livre

  • Homélies sur les gloires de la Vierge Mère

    7,90 

    Vous êtes bénie entre toutes les femmes et le fruit de vos entrailles est béni.« En entendant l’Ange parler ainsi, Marie fut troublée de son langage, et elle pensait en elle-même ce que pouvait être cette salutation (Luc, I, 29). » Les vierges, qui sont véritablement vierges, sont naturellement timides et ne se croient jamais en sûreté. Alors l’Ange, considérant la Vierge et remarquant sans peine qu’elle était intérieurement en proie à des pensées bien différentes, dissipe ses appréhensions, chasse ses doutes, et, l’appelant familièrement par son nom, il lui dit avec bonté de ne rien craindre, « Ne craignez point, Marie, lui dit-il, car vous avez trouvé grâce devant Dieu (Luc, I, 30). » Commander le livre

  • L’Action Sociale de Saint François d’Assise

    9,07 

    Quoique épris d’idéal, François d’Assise fut avant tout un esprit essentiellement pratique. Il fut ému des maux qu’il voyait sous ses yeux, dans sa petite patrie ; c’est à la vue des gémissements des malheureux opprimés autour de lui que son cœur s’émut ; c’est pour eux que son génie chercha un moyen de salut, et ce moyen de salut, ce n’est qu’après en avoir montré l’efficacité dans sa petite patrie qu’il le porta elle fit accepter de proche en proche jusqu’aux extrémités du monde. Cette étude nous fera comprendre la nature et la grandeur de l’action sociale entreprise par le séraphique patriarche. Commander le livre

  • L’Esthétique des Tombeaux

    7,70 

    Le monument que chaque génération élève à la mort traduit, peut-être plus qu’aucune autre chose d’art, son sentiment sur la vie. Sentiment de regret pour la vie qu’elle a vécue, ou d’espérance en une autre meilleure, souvenir de la petite famille qu’elle a laissée sur la terre et qu’elle veut visiter encore, ou bien de la grande famille qu’elle possède déjà outre-tombe et qu’elle rêve de voir, peu importe. Nous créons toujours l’inconnu selon le connu. Nous donnons à la mort les formes de la vie, et, soit pour l’exalter, soit pour la maudire, l’Art n’a pas d’autre source où puiser. Commander le livre

  • L’Homme et la Machine

    9,50 

    Pour le grec antique et l’homme du Moyen âge il existait un cosmos immuable, un système hiérarchique, un « ordo » éternel ; il existait pour Aristote comme pour saint Thomas d’Aquin. La notion même de l’ordre immuable de la nature était liée au principe de la téléologie objective. Et voici que la technique, sous la forme où elle triomphe dès la fin du XVIIIe siècle, détruit la foi en cet ordre éternel, et cela, d’une manière infiniment plus brutale et plus profonde que l’évolutionnisme. La technique est réaliste, elle ne reflète rien, elle crée une nouvelle réalité, tout en elle est présent. Elle soustrait l’homme aussi bien à la nature qu’à l’au-delà. La technique représente le dernier amour de l’homme qui est tout prêt, sous l’influence de cet amour, à modifier sa propre image. Commander le livre

  • L’origine des cultes primitifs

    7,10 

    L’homme, a-t-on dit, est un animal religieux. — Ce privilège, les transformistes le lui contestent aujourd’hui ; d’autres, qui sont disposés à le lui reconnaître, douteraient volontiers qu’il fût pour lui un titre d’honneur. L’histoire des religions, semble-t-il, n’est guère que celle des superstitions du genre humain. Que sont les premiers dieux ? Des animaux, des arbres, des fontaines, des pierres, les astres. Et pour toutes ces divinités impuissantes ou ridicules l’humanité se prend de terreurs indicibles ; elle se déchire elle-même, elle couvre la terre de massacres et de sang ! En vérité, a-t-elle donc le droit d’être si fière de cet attribut de religiosité qui la met au-dessus des espèces animales les plus voisines ? N’est-on pas tenté de croire, avec Buckle, que la religion a fait, somme toute, plus de mal que de bien, et, avec Comte, qu’il est temps de dépouiller ce besoin de surnaturel, enfantine et funeste illusion de l’ignorance, et d’entrer enfin et à toujours dans l’âge viril de la science positive ? Commander le livre

  • La Nuit de Noël dans tous les Pays: Légendes et Tradition

    11,10 

    Quelles douces heures que celles des veillées de décembre et quel charme elles ont laissé dans nos souvenirs d’enfance ! Il suffira de se plonger dans la lecture de ces chapitres, pour retrouver tout l’intérêt de ces anciennes traditions de Noël. Quatre provinces ont particulièrement retenu notre attention : La Normandie, le Berry, la Provence et la Bretagne, des régions riches par les traditions qu’elles renferment. Voici le moment de revenir aux sources d’un Noël enraciné et populaire. Commander le livre

  • La Pesanteur et la Grâce

    7,00 

    Dans la Pesanteur et la Grâce Simone Weil philosophe et mystique chrétienne nous livre ses pensées d’une exceptionnelle profondeurs. Un esprit entièrement tourné vers la recherche de la vérité, sans compromis, exigeante, parfois tourmentée, mais toujours d’une grande justesse. La pesanteur est ce qui nous rattache à notre moi, ce qui le conserve, et la grâce ce qui ce transcende ce moi, ce qui l’emmène vers le divin. Un ouvrage majeur à méditer. Commander le livre

  • La Russie et l’Église universelle

    12,80 

    Le caractère profondément religieux et monarchique du peuple russe, quelques faits prophétiques dans son passé, la masse énorme et compacte de son Empire, la grande force latente de l’esprit national en contraste avec la pauvreté et le vide de son existence actuelle — tout cela paraît indiquer que la destinée historique de la Russie est de fournir à l’Église Universelle le pouvoir politique qui lui est nécessaire pour sauver et régénérer l’Europe et le monde.Si la Russie est appelée à apporter sa parole au monde, ce n’est pas des régions brillantes de l’art et des lettres, ni des hauteurs superbes de la philosophie et des sciences, — ce n’est que des sommets sublimes et humbles de la religion que cette parole doit retentir. Commander le livre

  • Le Jubilé de Jeanne d’Arc

    6,80 

    Domrémy-la-Pucelle, ce n’est pas là un pays vide et creux, c’est une terre toute pleine, chargée d’esprit ! Jeanne s’y appuie sur un long passé et sur d’abondantes richesses imaginatives. Ce touchant village très simple, sur sa mince rivière, développe pour des yeux pénétrants des formes riches et variées de sens, un vaste horizon digne de celle qui en fait le point central. C’est un grand sujet à saisir et à considérer hardiment que l’ensemble formé par la petite maison natale accolée à son église, avec l’entourage que lui font la côte païenne du Bois-Chenu, la retraite si pure de Bermont et la côte romaine qui porte “le camp de Julien”. Pendant longtemps, ce paysage où grandit la petite fille, et tous ces beaux témoins de sa vie obscure, ne furent pour moi qu’un précieux bijou dans la solitude, un objet de vénération, une relique où nous avions à goûter les plaisirs de l’attendrissement plus que les bénéfices de la réflexion. Mais à chaque fois que je revois ce lieu saint, de puissantes clartés m’accueillent, et je parviens à saisir des rapports émouvants et vrais entre Jeanne et cette terre. Commander le livre

  • Le Livre de l’Apocalypse

    7,40 

    Et j’entendis une grande voix qui sortait du sanctuaire, et qui disait aux sept anges : « Allez et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu.» Et le premier partit et répandit sa coupe sur la terre ; et un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui avaient la marque de la bête et ceux qui adoraient son image. Puis le second répandit sa coupe dans la mer ; et elle devint comme le sang d’un mort, et tout être vivant qui était dans la mer mourut. Puis le troisième répandit sa coupe dans les fleuves et les sources d’eau ; et les eaux devinrent du sang. Et j’entendis l’ange des eaux qui disait : « Vous êtes juste, vous qui êtes et qui étiez, vous le Saint, d’avoir exercé ce jugement. Car ils ont versé le sang des justes et des prophètes, et vous leur avez donné du sang à boire : ils en sont dignes ! » Et j’entendis l’autel qui disait : « Oui, Seigneur, Dieu tout-puissant, vos jugements sont vrais et justes. » Commander le livre

  • Le nouveau Moyen Âge : Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe

    15,95 

    L’expérience des temps modernes ne nous permet pas de retourner à l’ancien Moyen Age ; seul un nouveau Moyen Age est possible. L’appel à un nouveau Moyen Age, aujourd’hui, n’est qu’un appel à cette révolution de l’esprit, à un renouvellement total de la conscience. Commander le livre

  • Le symbolisme de la Croix

    15,10 

    La croix, avons-nous dit, est un symbole qui, sous des formes diverses, se rencontre à peu près partout, et cela dès les époques les plus reculées ; elle est donc fort loin d’appartenir proprement et exclusivement au Christianisme comme certains pourraient être tentés de le croire. Il faut même dire que le Christianisme, tout au moins sous son aspect extérieur et généralement connu, semble avoir quelque peu perdu de vue le caractère symbolique de la croix pour ne plus la regarder que comme le signe d’un fait historique ; en réalité, ces deux points de vue ne s’excluent aucunement, et même le second n’est en un certain sens qu’une conséquence du premier. Si le Christ est mort sur la croix, c’est pouvons-nous dire, en raison de la valeur symbolique que la croix possède en elle-même et qui lui a toujours été reconnue par toutes les traditions ; c’est ainsi que, sans diminuer en rien sa signification historique, on peut la regarder comme n’étant que dérivée de cette valeur symbolique même. Commander le livre

  • Les Premières Années de Sainte Catherine de Sienne

    6,40 

    Catherine s’arrêta : « Ayant levé les yeux, elle aperçut de l’autre côté de la vallée, au-dessus du chevet de l’église des Frères Prêcheurs, un trône magnifique disposé avec une pompe royale ; et sur ce trône, Jésus-Christ le Rédempteur du monde, couronné de la tiare et revêtu des ornements pontificaux. Auprès de lui se trouvaient les princes des apôtres Pierre et Paul, et saint Jean l’Évangéliste. » À cette vue Catherine s’arrêta, frappée d’étonnement, et contempla son Sauveur, qui se manifestait si miraculeusement à elle pour lui prouver son amour. Alors il abaissa son regard sur elle, lui sourit amoureusement, étendit sa main droite et traça le signe de la croix. Et si puissante fut cette bénédiction de l’Éternel que, ravie hors d’elle-même, l’enfant qui par nature était timide resta là sur la voie publique, les yeux levés vers le ciel, au milieu du va-et-vient des hommes et des animaux. Commander le livre

  • Lettre à un religieux

    7,00 

    “… Quand je lis le catéchisme du concile de Trente, il me semble n’avoir rien de commun avec la religion qui y est exposée. Quand je lis le Nouveau Testament, les mystiques, la liturgie, quand je vois célébrer la messe, je sens avec une espèce de certitude que cette foi est la mienne, ou plus exactement serait la mienne sans la distance mise entre elle et moi par mon imperfection. Cela fait une situation spirituelle pénible. Je voudrais la rendre, non pas moins pénible, mais plus claire. N’importe quelle peine est acceptable dans la clarté.”“Combien notre vie changerait si on voyait que la géométrie grecque et la foi chrétienne ont jailli de la même source !”Simone Weil Commander le livre

  • Ma Vie en Jésus Christ : Le Père Jean de Cronstadt son ascétisme, sa morale

    13,00 

    Le genre humain est un seul arbre immense qui croît sur toute la terre et dont les branches la recouvrent entièrement. Son ancienne racine pourrie est greffée, grâce à la sagesse et à la clémence de Dieu, d’une nouvelle tige vivante qui est Notre Seigneur Jésus-Christ, dont les chrétiens tirent leur origine, comme un rameau la tire d’un arbre entier. Les arbres vivent d’une vie terrestre et organique ; le monde chrétien vit de la vie du Christ, vie spirituelle et céleste. Commander le livre

  • Paroles de Combattant

    10,50 

    Le panache, ils l’ont tous, quand une attaque sérieuse est proche, quand il faut sortir en masse des tranchées pour livrer la bataille qu’ils espèrent décisive. Ils courbent le dos, mais contractent les mâchoires sous les tempêtes apocalyptiques des préparations d’artillerie. Beaucoup se montrent gouailleurs, la plupart plaisantent comme chante l’enfant qui traverse tout seul un bois pendant la nuit. Quand tombe l’excitation de la lutte imminente ; ou présente, ou passée, ils se retrouvent seuls avec leurs soucis. Ils « tiennent » parce que : « il faut tenir ; » ils sont conscients de leur sacrifice, mais ils l’acceptent avec une froide et tenace volonté. Ils sont résignés, mais non moroses ; ils grognent, mais ils ne geignent pas. Ils subissent tous les événements futiles ou tragiques avec une placidité presque toujours déconcertante, une raillerie souvent spirituelle, un égoïsme parfois contrarié par de touchants élans du cœur. Ils trouvent que la guerre est longue, mais ils ne se résoudraient pas à rentrer chez eux en laissant la tâche inachevée. Commander le livre