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Les bougies et les savons Marseillais, c’est le sujet que nous voudrions examiner. Notre étude nous conduira parmi les grandes usines de Marseille. Cette vieille et glorieuse citée, ce grand port méditerranéen où l’industrie est en harmonie avec le commerce. Commander le livre
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Les instituteurs français n’ont pas à prévoir l’éducation qui conviendra aux générations des siècles futurs, mais ont pour mission d’élever les jeunes générations actuelles et de leur inspirer l’amour de leurs devoirs, au premier rang desquels se placent les devoirs envers la France. Commander le livre
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Je réduisis à cinq vues principales le traitement moral ou l’éducation du Sauvage de l’Aveyron. L’attacher à la vie sociale, en la lui rendant plus douce que celle qu’il menait alors, et surtout plus analogue à la vie qu’il venait de quitter. Réveiller la sensibilité nerveuse par les stimulants les plus énergiques et quelquefois par les vives affections de l’âme. Étendre la sphère de ses idées en lui donnant des besoins nouveaux, et en multipliant ses rapports avec les êtres environnants. Le conduire à l’usage de la parole en déterminant l’exercice de l’imitation par la loi impérieuse de la nécessité. Exercer pendant quelque temps sur les objets de ses besoins physiques les plus simples opérations de l’esprit en déterminant ensuite l’application sur des objets d’instruction. (Récit du Docteur Itard). Commander le livre
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Ces textes, ont pour origine les lettres que Schiller adressa au duc Frédéric-Christian de Schleswig-Holstein entre février et décembre 1793. Schiller soutient que le problème politique ne peut être résolu que par l’esthétique. L’éducation esthétique ennoblit les hommes, ce qui est la condition de leur agir moral. Il est vain de chercher à établir la liberté politique avant l’éducation politique des hommes.Le texte propose une analyse des facultés humaines. Il y a selon lui deux facultés fondamentales : la nature sensible et la nature raisonnable. Commander le livre
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La civilité est un art qui consiste à bien régler ses discours et ses actions. Celui qui ne connaît pas les règles de civilité manque souvent aux usages et devient l’objet de mépris. « La politesse, dit La Bruyère, est une certaine attention à faire pour que, par nos discours et par nos actions, les autres soient contents de nous et d’eux-mêmes. » Elle est le supplément de beaucoup de vertus, nous fait renoncer à nos mauvaises habitudes et mesurer nos discours. Un livre pratique pour toutes les générations. Commander le livre
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Ne sont-ce pas les femmes qui ruinent ou qui soutiennent les maisons, qui règlent tout le détail des choses domestiques, et qui, par conséquent, décident de ce qui touche de plus près à tout le genre humain ? Par là, elles ont la principale part aux bonnes ou aux mauvaises mœurs de presque tout le monde. Une femme judicieuse, appliquée, et pleine de religion, est l’âme de toute une grande maison ; elle y met l’ordre pour les biens temporels et pour le salut. Les hommes mêmes, qui ont toute l’autorité en public, ne peuvent par leurs délibérations établir aucun bien effectif, si les femmes ne leur aident à l’exécuter. Commander le livre