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  • Impressions de Roumanie

    6,10 

    Les amis que nous avons en Roumanie, aiment à recevoir les échos de la pensée française. Le peuple Roumain est si imprégné d’atavisme romain et de culture latine qu’à travers la vaste Europe, tout ce qui de France arrive jusqu’à son âme, fait vibrer celle-ci singulièrement. Nos amis roumains sont d’un tel éclectisme que le moindre commis-voyageur de la pensée française, si peu qu’il représente, est toujours désiré et accueilli par eux comme s’il portait dans sa valise tous les trésors de l’esprit. Commander le livre Impressions de Roumanie

  • Le gouvernement de Charlemagne

    7,80 

    Le couronnement de Charlemagne n’est pas un acte isolé ; il se rattache à une série de faits antérieurs qui l’ont amené et préparé. Quand on lit les textes de l’époque mérovingienne, on est frappé de voir combien le souvenir de l’empire romain s’était conservé chez les populations. On le rencontre partout, dans les édits des rois comme dans les formules des actes privés, dans les lettres de personnages de toute condition aussi bien que dans les chroniques. On suit de génération en génération les marques toujours visibles du respect qui s’attachait à cet ancien empire. Parmi ces écrits si divers, les uns nous viennent de Gallo-Romains, les autres de Germains ; leur ton à l’égard de l’empire est le même. Jamais un mot de haine ou de mépris ; le seul sentiment qui se laisse voir, sans distinction de race, est celui de la vénération. Commander le livre

  • Le nouveau Moyen Âge : Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe

    15,95 

    L’expérience des temps modernes ne nous permet pas de retourner à l’ancien Moyen Age ; seul un nouveau Moyen Age est possible. L’appel à un nouveau Moyen Age, aujourd’hui, n’est qu’un appel à cette révolution de l’esprit, à un renouvellement total de la conscience. Commander le livre

  • Les Derniers Vikings et les Premiers Rois du Nord

    9,90 

    Les vikings étaient indifféremment marins, fantassins ou cavaliers, selon que le demandaient les circonstances des expéditions. Leur costume était plutôt celui de marins que de soldats. Leurs navires étaient de belles galères, à cinquante rangs de rames, pouvant contenir de cent cinquante à deux cents hommes d’équipage, très allongées sur les flancs, très hautes et très recourbées à la poupe et à la proue. Artistement travaillées, peintes et dorées à leurs extrémités, munies de voiles composées de bandes alternées de couleur bleue, rouge et verte, décorées d’ornements et de figures sculptées, on les nommait dragons ou serpents de guerre, parce qu’elles présentaient la forme d’un serpent dont la proue montrait la tête, dont les flancs dessinaient les replis, et dont la poupe figurait la queue. Commander le livre