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  • De la religion considérée dans ses rapports avec l’ordre politique et civil

    9,50 

    Jésus-Christ en instituant un ministère public, une hiérarchie de pouvoirs gradués jusqu’au pouvoir suprême un et universel comme la religion qu’il devait perpétuer, unit tous ses disciples dans une société, non seulement spirituelle, mais aussi extérieure et visible, et dont la notion même exclut l’idée de limites. C’est ainsi que le christianisme, universel par ses dogmes, par son culte, par ses préceptes, c’est-à-dire comme loi d’ordre et de vérité, est encore par la constitution divine de l’Église, l’institution sociale universelle. et de là sa force prodigieuse : s’il agit sur tout l’homme et sur tous les hommes par la puissance de sa doctrine, il agit sur la société par le sacerdoce, et ramenant tout à l’unité, qui est son essence, il travaille perpétuellement à établir entre les membres de la famille humaine l’union la plus parfaite qu’il nous soit donné de concevoir. Qu’ils soient un comme nous sommes un ! Cette prière que Jésus-Christ adressait à son père, et qu’il ne lui adressa pas en vain, montrait le but du christianisme. Commander le livre

  • Le Livre du Peuple

    10,90 

    Ce livre, cher lecteur, t’offrira peut-être quelques enseignements utiles ; il t’instruira de tes droits et de tes devoirs ; il t’apprendra combien il t’importe de défendre les uns avec fermeté et d’accomplir fidèlement les autres. Car, sans devoir, qu’est-ce que l’homme ? une espèce de monstre isolé, dépourvu de liens, de relations sympathiques, d’amour, retiré en lui-même comme la bête de proie dans son antre, et vivant là d’une vie solitaire, morne, aveugle, poussé par la faim et la rapine ; et dormant quand il est repu. Toutes choses ne sont pas en ce monde comme elles devraient être. Il y a trop de maux et des maux trop grands. Ce n’est pas là ce que Dieu a voulu. Commander le livre

  • Paroles d’un croyant

    7,10 

    « Il y a les hommes qui n’aiment qu’eux-mêmes; et ceux-ci sont les hommes de haine, car n’aimer que soi, c’est haïr les autres. »« Le travail est partout et la souffrance partout: seulement il y a des travaux stériles et des travaux féconds, des souffrances infâmes et des souffrances glorieuses. »Écrit par Félicité Robert de Lamennais en avril 1834, Paroles d’un croyant est un écrit lyrique devenu un classique de la pensée sociale et religieuse. Commander le livre