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  • Chez les Moines de l’Athos : Un Jour de Toussaint

    6,80 

    L’Athos ! Le mot avait eu sur mon imagination d’enfant une puissance de magie. Dans mes rêves d’adolescent, le pèlerinage à l’Athos prenait les allures fantastiques d’une visite en des régions de mirage. Je ne savais point alors que la grande Madone du Ciel a seule droit de cité en la montagne sainte. L’Athos de mes songes surgissait, à l’appel de ma pensée, d’une mer bleu sombre, pareil à un gigantesque bastion de granit, aux pentes vertigineuses, aux parois très lisses, sur lequel, seul, un miracle du Ciel avait permis aux moines de se fixer. Et voici qu’aujourd’hui, fête de tous les saints, annonciatrice de l’hiver, le vieil Athos, drapé en son manteau automnal de grisailles ouaté de floconneuses brumes, se montre à mes yeux de dévot dans sa hiératique majesté de gardien éternel, veillant sur la cité sainte. Commander le livre

  • Le Mythe de Vénus

    8,01 

    De toutes les divinités de l’Olympe antique, une surtout reste encore vivante parmi nous, par la poésie et par les arts, c’est Vénus ; mère des Amours, déesse des plaisirs, type de la beauté féminine. La poésie lui a conservé, une grande popularité, quant aux sculpteurs et aux peintres, Vénus leur fournit un thème si propice pour représenter de belles formes nues, que l’art moderne rivalise avec celui des anciens pour nous la montrer sous toutes les attitudes. Il n’est pas une seule de nos expositions des beaux-arts où nous ne la voyions revenir avec quelque variante de pose ou d’accessoires…L’auteur nous fait découvrir dans ce livre le mythe de la déesse de l’Amour. Commander le livre

  • Le Sourire d’Athéna

    6,95 

    Le Parthénon, Que de tribulations n’a-t-il pas éprouvées ! À peine avait-il plus d’un siècle, — et c’est la petite jeunesse d’un monument, — il fut transformé en harem : Démétrios Poliorcète y installa ses courtisanes et lui. Le temple devint un palais, et voluptueux. Il nous est difficile d’imaginer qu’Athéna soit restée en telle compagnie. Ensuite, le temple devint une église chrétienne ; la statue chryséléphantine d’Athèna fut emportée à Constantinople, et la Théotokos, Vierge mère, la remplaça. Dans le pronaos, aménagé en abside, on établit l’autel, sur les murs, on peignit des fresques saintes, et l’on substitua au plafond une voûte qui eût la forme du ciel mystique. Commander le livre