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  • Coups de Foudre

    7,95 

    Aujourd’hui, cela ne me plaît pas du tout d’aller au bureau… Être toujours prête à la même heure, lire la correspondance, écouter les ordres d’un patron, taper à la machine et toujours à peu près les mêmes réponses… Cette routine me lasse… me lasse ! Ah ! être libre ! agir à ma fantaisie ! Pourquoi ne suis-je pas heureuse de mon sort comme la plupart de mes collègues ? Pourquoi suis-je si souvent la proie d’aspirations qu’à mes heures raisonnables je qualifie de stupides ? J’ai deux natures en moi, Ila… je m’appelle Ila. C’est un nom norvégien, et c’est sans doute pour cela que je rêve d’espaces, que je préfère le froid à la chaleur et que mes songes se déroulent au milieu des mers glacées, des neiges et des icebergs. Et, chose curieuse, toute ma personne a, elle aussi, un petit air nordique. Commander le livre

  • La Mare au Diable

    6,90 

    Germain, veuf inconsolable, père de trois enfants, suit sans enthousiasme le conseil de son beau-père, le père Maurice, qui l’incite à chercher une nouvelle épouse. Il rendra donc visite à la riche veuve Guérin, qui habite Fourche, à douze kilomètres. On lui confie en même temps la petite Marie, jeune voisine pauvre, qu’il escortera aux Ormeaux, près de Fourche, où elle est engagée comme bergère. Les deux voyageurs emmènent un compagnon imprévu: Petit-Pierre, fils aîné du laboureur. Ayant pris un raccourci, ils s’égarent dans l’obscurité et le brouillard. Les voilà forcés de passer la nuit à la belle étoile: Germain, émerveillé des qualités de sa jolie compagne, tombe amoureux de la jeune fille, peu encline, lui confie-t-elle, à épouser un homme de son âge. Commander le livre

  • Le Peuple de l’abîme

    8,20 

    Durant l’été 1902, Jack London va descendre dans les bas fonds de Londres (l’East-End). Se fondant dans la population, il va côtoyer les sans logis et les travailleurs pauvres. Au travers de son récit, nous allons découvrir toute l’horreur de la misère, les bastons, l’alcoolisme, le froid, les passages à tabac, l’errance. L’évocation est brutale, terrible à bien des égards et visionnaire en ce qu’il perçoit déjà comment ceci va se terminer. London raconte l’exclusion cent ans avant les historiens. C’est un travail d’enquête qui ferait rougir tous les journalistes bien pensants d’aujourd’hui. Commander le livre

  • Le Prince et le Pauvre

    14,40 

    À Londres, vers le milieu du XVIe siècle, le jeune Édouard, prince de Galles et fils d’Henry VIII, aimerait échapper à l’étiquette de la Cour et s’amuser au-dehors avec des enfants de son âge. Dans le même temps, Tom Canty, gamin pauvre des rues, rêve d’échapper à sa condition. Le destin fait se rencontrer les deux enfants qui, profitant d’une ressemblance frappante, s’échangent leurs «rôles». Commander le livre

  • Méditations sur l’Existence : Solitude, Société et Communauté

    11,50 

    Chacun sait comme le temps s’accélère ou se ralentit selon l’intensité de vie, selon les événements qui remplissent l’existence humaine. Le caractère mathématique du temps perd alors toute signification et l’existence humaine se libère de la montre et du calendrier. Si habituellement nous tenons tant à l’observation des heures, c’est que nous ne sommes guère heureux, c’est que nous sommes trop souvent misérables. L’inspiration créatrice elle aussi ignore le temps numérique. C’est toujours la marque de l’irruption de l’éternité dans le temps, dont elle règle le cours. Tout ce qui n’est pas éternel, tout ce qui n’a pas l’éternité pour origine et pour fin est dépourvu de toute valeur et destiné à disparaître; l’avenir lui réserve la mort, la fin dans le temps […] Le temps qui ne participe pas à l’éternité est une défection à l’égard de l’éternité. D’autre part, le temps est un moment de l’éternité et c’est en elle seulement qu’il trouve sa justification. Tel est le paradoxe à double tranchant du temps… Commander le livre

  • Petit Manuel de Politesse et de Savoir-Vivre

    6,90 

    La civilité est un art qui consiste à bien régler ses discours et ses actions. Celui qui ne connaît pas les règles de civilité manque souvent aux usages et devient l’objet de mépris. « La politesse, dit La Bruyère, est une certaine attention à faire pour que, par nos discours et par nos actions, les autres soient contents de nous et d’eux-mêmes. » Elle est le supplément de beaucoup de vertus, nous fait renoncer à nos mauvaises habitudes et mesurer nos discours. Un livre pratique pour toutes les générations. Commander le livre