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  • Cléopâtre : Maîtresse du Monde

    8,02 

    Cléopâtre est représentée en Isis, superbe, séduisante au plus haut-degré ; la beauté physique, c’est elle. Il suffit de contempler cette Cléopâtre pour comprendre la faiblesse de César ! La coiffure a beaucoup d’élégance et de distinction, les cheveux nattés en filet sur la tête pendent sur la nuque et les épaules en tresses nubiennes ; le visage est noble, fin, une aile se déploie à chaque tempe, et sur le front se dresse un petit serpent ; le sein, les bras sont nus, richement ornés de joyaux ; une ceinture presse la taille au-dessous de la gorge et maintient la tunique étroite qui descend jusqu’à la cheville; à ses pieds brillent des bijoux. Les inscriptions la désignent sous le vocable : « Cléopâtre, Maîtresse du Monde » Commander le livre

  • L’Esthétique des Batailles : De l’Antiquité à la période moderne

    8,12 

    Tout le pittoresque et toute la poésie des batailles qui séduisaient tant les imaginations de nos pères se sont-elles retirées de nos luttes contemporaines pour ne nous en laisser que toute l’horreur ? L’appareil de plus en plus scientifique du combat, le rôle de plus en plus intellectuel du combattant, ont-ils tari les sources où puisait le peintre, en même temps qu’ils ouvraient une voie plus profonde au psychologue, au romancier ? Telle est la question que se posent les admirateurs de nos vieux peintres militaires. Pour l’éclaircir, nous allons examiner les principales représentations du combat autrefois et aujourd’hui, et tâcher de déterminer ainsi la beauté plastique de la lutte, les conditions de cette beauté, quelque chose comme l’Esthétique des batailles. Commander le livre

  • L’origine des cultes primitifs

    7,10 

    L’homme, a-t-on dit, est un animal religieux. — Ce privilège, les transformistes le lui contestent aujourd’hui ; d’autres, qui sont disposés à le lui reconnaître, douteraient volontiers qu’il fût pour lui un titre d’honneur. L’histoire des religions, semble-t-il, n’est guère que celle des superstitions du genre humain. Que sont les premiers dieux ? Des animaux, des arbres, des fontaines, des pierres, les astres. Et pour toutes ces divinités impuissantes ou ridicules l’humanité se prend de terreurs indicibles ; elle se déchire elle-même, elle couvre la terre de massacres et de sang ! En vérité, a-t-elle donc le droit d’être si fière de cet attribut de religiosité qui la met au-dessus des espèces animales les plus voisines ? N’est-on pas tenté de croire, avec Buckle, que la religion a fait, somme toute, plus de mal que de bien, et, avec Comte, qu’il est temps de dépouiller ce besoin de surnaturel, enfantine et funeste illusion de l’ignorance, et d’entrer enfin et à toujours dans l’âge viril de la science positive ? Commander le livre

  • La Vénus de Milo : Son histoire et ses mystères

    7,50 

    Retrouvée sur l’île de Milos en avril 1820, la Vénus de Milo est une œuvre originale qui remonte à 150 – 130 avant Jésus-Christ. Son exposition au Louvre fit sensation, c’était la première fois qu’une statue grecque faisait sont entrée dans les collections du musée. Sa célébrité ne s’est jamais démentie depuis lors. On admire la grande beauté de son corps à demi dénudé, la Vénus fût aussi l’objet de polémiques suscitées par son identité et la position de ses bras. Ce livre retrace cette aventure hors-norme. Commander le livre

  • Le Mythe de Vénus

    8,01 

    De toutes les divinités de l’Olympe antique, une surtout reste encore vivante parmi nous, par la poésie et par les arts, c’est Vénus ; mère des Amours, déesse des plaisirs, type de la beauté féminine. La poésie lui a conservé, une grande popularité, quant aux sculpteurs et aux peintres, Vénus leur fournit un thème si propice pour représenter de belles formes nues, que l’art moderne rivalise avec celui des anciens pour nous la montrer sous toutes les attitudes. Il n’est pas une seule de nos expositions des beaux-arts où nous ne la voyions revenir avec quelque variante de pose ou d’accessoires…L’auteur nous fait découvrir dans ce livre le mythe de la déesse de l’Amour. Commander le livre

  • Le Sourire d’Athéna

    6,95 

    Le Parthénon, Que de tribulations n’a-t-il pas éprouvées ! À peine avait-il plus d’un siècle, — et c’est la petite jeunesse d’un monument, — il fut transformé en harem : Démétrios Poliorcète y installa ses courtisanes et lui. Le temple devint un palais, et voluptueux. Il nous est difficile d’imaginer qu’Athéna soit restée en telle compagnie. Ensuite, le temple devint une église chrétienne ; la statue chryséléphantine d’Athèna fut emportée à Constantinople, et la Théotokos, Vierge mère, la remplaça. Dans le pronaos, aménagé en abside, on établit l’autel, sur les murs, on peignit des fresques saintes, et l’on substitua au plafond une voûte qui eût la forme du ciel mystique. Commander le livre