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  • Ceux de Verdun

    5,20 

    Si vous riez, c’est grâce à eux, et si vous voyez encore la beauté du monde. Le rire de vos petits, chaque matin, vous le devez à ces Lazares qui ressuscitent, pour vous, chaque jour, de la tombe.Dans vos villes tranquilles, ils ne vous demandent pas de pleurer ; Mais de jouer avec mesure, de rire avec décence.Ils ne vous demandent pas de jeûner, dans un cilice ; Mais la douce gravité, que l’amour doit à l’absence : Car ils ne veulent rien de vous que d’être aimés. Commander le livre Ceux de Verdun

  • La Bataille de Bouvines

    6,80 

    Cette haute idée de la France, les ambitions de Philippe-Auguste en même temps que les résultats acquis de sa politique, c’est tout cela qui est en question, le jour de la bataille de Bouvines. Le 27 juillet 1214 est une date décisive, symboliquement forte pour l’histoire de la France. La Bataille de Bouvines marque un tournant par ses conséquences et son grand retentissement. Commander le livre La Bataille de Bouvines

  • La Guerre des Gaules – Livre avec cartes des batailles

    7,95 

    Vercingétorix décide de faire partir nuitamment tous ses cavaliers avant que les Romains n’achèvent leurs travaux d’investissement. En se séparant d’eux, il leur donne mission d’aller chacun dans leur pays et d’y réunir pour la guerre tous les hommes en âge de porter les armes. Il leur expose ce qu’ils lui doivent, et les conjure de songer à son salut, de ne pas le livrer aux tortures de l’ennemi, lui qui a tant fait pour la liberté de la patrie. Il leur montre que s’ils ne sont pas assez actifs, quatre vingt mille hommes d’élite périront avec lui. D’après ses calculs, il a tout juste trente jours de blé, mais il est possible, avec un strict rationnement, de subsister un peu plus longtemps encore. Après leur avoir confié ce message, il fait partir ses cavaliers en silence, pendant la deuxième veille, par le passage qui s’ouvrait encore dans nos lignes. Il réquisitionne tout le blé ; il décrète la peine de mort contre ceux qui n’obéiront pas ; il donne à chaque homme sa part du bétail; le blé, il le distribue parcimonieusement et peu à peu ; il fait rentrer dans la ville toutes les troupes qu’il avait établies sous ses murs. C’est par ces mesures qu’il s’apprête à attendre le moment où la Gaule le secourra, et qu’il règle la conduite de la guerre. Commander le livre La Guerre des Gaules

  • La Guerre en Flandre : Vue par un journaliste Américain

    8,20 

    Les correspondants militaires, seuls, peuvent avoir une vue d’ensemble, contemporaine des événements. Jusque vers la fin du XIXe siècle, ils formaient une corporation de spécialistes que les journaux puissants, les revues riches se disputaient à prix d’or. Dès qu’un conflit, quelque part dans le monde, mettait des armées en présence, ils accouraient pour observer et décrire au jour le jour. La Guerre en Flandre est le résumé tout chaud des observations faites d’après nature… Commander le livre

  • La Marine Française

    6,90 

    Les marins Français sont aussi bons que ceux de l’Angleterre. Voyez nos matelots des localités maritimes, ils sont excellents. Quant aux officiers, nous ne voulons pas rabaisser le mérite de ceux de l’Angleterre, mais il est un fait certain, c’est que les nôtres sont en général plus instruits, et aussi bons manœuvriers. Nous parlons de ceux d’aujourd’hui que quinze ans de navigation continue ont formés, de telle sorte que dans toutes les mers, ils peuvent se montrer avec avantage. La bravoure ne leur manquerait pas plus qu’elle n’a manqué à eux ou à leurs devanciers sous le règne de Napoléon. Le personnel de notre marine est riche en hommes braves. Commander le livre

  • La popularité de Napoléon

    6,00 

    Napoléon s’est merveilleusement acquitté de la seule mission qu’il eût reçue du ciel, celle de préparer le terrain pour un lointain avenir. Foudroyant symbole de l’égalité révolutionnaire et du droit souverain du génie, le soldat-roi résumait dans sa personne les idées même qu’il avait vaincues, et dont il aspirait la sève. Deux choses sont donc à distinguer dans Napoléon, deux choses qui donnent la clé de tant de jugements incohérents, de tant de contradictions apparentes : sa mission et sa politique, son œuvre et sa volonté. Par l’une, il marcha toujours vers le but assigné à sa vie, lors même que par l’autre il sembla vouloir s’en détourner. C’est pour cela que l’instinct du peuple l’absout dans ses fautes et le glorifie jusque dans ses abaissements. Le sceau de la Providence est sur cette tête ; elle est sacrée pour l’humanité tout entière. Commander le livre

  • La Terre et les morts : suivi de La Querelle des nationalistes et des cosmopolites

    6,90 

    La terre nous donne une discipline, et nous sommes les prolongements des ancêtres. Voilà sur quelle réalité nous devons nous fonder. Il faut raciner les individus dans la terre et dans les morts. Commander le livre

  • Le procès de Jeanne d’Arc

    15,00 

    Les minutes du procès de condamnation de Jeanne d’Arc offrent l’image authentique de la plus grande sainte de notre histoire de France. Une jeune paysanne de 19 ans déjoue les pièges des docteurs de la loi. Ses réponses reflètent l’éclat de sa force et la pureté de sa foi. On se surprend, comme Jeanne, à garder l’espoir d’une autre issue. Commander le livre

  • Le rôle social de l’Officier

    5,00 

    Nul n’est mieux placé que l’officier pour exercer sur ses subordonnés une action efficace. En contact immédiat avec eux, il partage entièrement leurs travaux, leurs fatigues, et n’en tire néanmoins aucun profit. Son gain ne dépend pas, comme celui des industriels, de la peine de ses hommes. Leurs intérêts sont, non plus opposés, mais semblables. L’autorité dont il est investi repose sur la loi, elle a une sanction légale, elle échappe à toute discussion, à tout compromis. Lui-même est soumis à cette discipline inflexible. Des règlements précis fixent la limite de ses exigences professionnelles. Tout concourt à dégager son indépendance personnelle et le désintéressement de son action. Maréchal Hubert Lyautey. Commander le livre

  • Les Templiers

    7,90 

    Les templiers devaient toujours accepter le combat, fut-ce d’un contre trois. « Allez heureux, allez paisibles, leur disait saint Bernard ; chassez d’un cœur intrépide les ennemis de la croix de Christ. En tout péril, redites-vous la parole : Vivants ou morts, nous sommes au Seigneur… Glorieux les vainqueurs, heureux les martyrs ! » Le soldat a la gloire, le moine le repos. Le templier abjurait l’un et l’autre. Il réunissait ce que les deux vies ont de plus dur : les périls et les abstinences. L’idéal de la croisade semble réalisé dans l’ordre du Temple. C’est aussi la représentation d’une croisade spirituelle, une guerre mystique que le chrétien soutient jusqu’à la mort contre l’ennemi intérieur. Associés aux hospitaliers c’est aux templiers que l’on doit la défense des saints lieux. Commander le livre

  • Les Traits éternels de la France

    6,95 

    Mois d’août 1914 ! L’appel aux armes retentit. Les cloches, dans tous les villages, s’ébranlent sur la vieille église dont le fondement repose au milieu des morts. Elles sont redevenues soudain les voix de la terre de France. Elles convoquent les hommes, elles plaignent les femmes ; leur clameur est si forte qu’il semble qu’elle pourrait briser la pierre des tombeaux, et tout de suite elle fait sortir du cœur français tout ce qu’il renferme. On sait que les fils de France sont braves. Commander le livre

  • Napoléon

    11,50 

    Cette biographie de Napoléon a été saluée pour le sérieux de ses sources et la qualité de son écriture. Jacques Bainville traite son sujet sans préjugés, dépassant la simple narration pour approfondir et analyser les événements. Le portrait qu’il fait de Napoléon est criant de vérité, aussi bien par son génie que par ses dérives. Une œuvre majeure à redécouvrir à l’occasion du Bicentenaire de la mort de l’Empereur. Commander le livre Napoléon

  • Paroles de Combattant

    10,50 

    Le panache, ils l’ont tous, quand une attaque sérieuse est proche, quand il faut sortir en masse des tranchées pour livrer la bataille qu’ils espèrent décisive. Ils courbent le dos, mais contractent les mâchoires sous les tempêtes apocalyptiques des préparations d’artillerie. Beaucoup se montrent gouailleurs, la plupart plaisantent comme chante l’enfant qui traverse tout seul un bois pendant la nuit. Quand tombe l’excitation de la lutte imminente ; ou présente, ou passée, ils se retrouvent seuls avec leurs soucis. Ils « tiennent » parce que : « il faut tenir ; » ils sont conscients de leur sacrifice, mais ils l’acceptent avec une froide et tenace volonté. Ils sont résignés, mais non moroses ; ils grognent, mais ils ne geignent pas. Ils subissent tous les événements futiles ou tragiques avec une placidité presque toujours déconcertante, une raillerie souvent spirituelle, un égoïsme parfois contrarié par de touchants élans du cœur. Ils trouvent que la guerre est longue, mais ils ne se résoudraient pas à rentrer chez eux en laissant la tâche inachevée. Commander le livre

  • Un Soldat de Verdun

    4,60 

    « Messieurs, Verdun est menacé. Vous êtes à Verdun et vous êtes la brigade de Verdun… Je n’ai pas à vous cacher la vérité. Nous avons été surpris… Je n’ai pas à vous cacher les fautes. Nous avons à les réparer…Le secteur que nous prenons ? Un chaos… La vie qui nous y attend ? La bataille… Les tranchées ? Elles n’existent pas… Ne me demandez pas de matériel. Je n’en ai pas… Des renforts. Je n’en ai pas… Bon courage, Messieurs… » Connaissez-vous dans toute l’histoire militaire une harangue où frémisse plus douloureusement la grande âme d’un chef donnant à des gens de cœur ce simple mot d’ordre : « Faites-vous tuer ! » Commander le livre Un Soldat de Verdun