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  • 21 Chansons Populaires de Flandre et du Nord : Avec Partitions

    15,70 

    21 Chansons Populaires de Flandre et du Nord (Avec les partitions) ALI, ALO ALLONS COMPÈRE CHANT D’UN GRENADIER DANS CE JOLI BOIS DE KREUPELAERDEN BEOWULFFRÉROT JACQUES HET AFZYN JÉSUS-CHRIST S’HABILLE EN PAUVRE KARELTJEKATJEMUYS LA FÊTE DE SAINTE ANNE LA PRINCESSE MARIÉE À UN ANGLAIS LA STÉNO-DACTYLO LE GALANT MOINE LE P’TIT QUINQUIN LES CORONS LES MORUTIERS PETIT JEAN REVENANT DE LILLE VA P’TIT BONNET, GRAND BONNET RÉVEILLEZ-VOUS PICARD. Commander le livre

  • Jésus-Christ en Flandre

    4,20 

    En ce moment, le ciel et la mer offraient un de ces spectacles auxquels il est peut-être impossible à la peinture, comme à la poésie, de donner plus de durée qu’ils n’en ont réellement. Les créations humaines veulent des contrastes puissants. Aussi, les artistes demandent-ils ordinairement à la nature ses phénomènes les plus brillants, désespérant sans doute de rendre la grande et belle poésie de son allure ordinaire, quoique l’âme humaine soit souvent aussi profondément remuée dans le calme que dans le mouvement, et par le silence autant que par la tempête. Commander le livre

  • La Guerre en Flandre : Vue par un journaliste Américain

    8,20 

    Les correspondants militaires, seuls, peuvent avoir une vue d’ensemble, contemporaine des événements. Jusque vers la fin du XIXe siècle, ils formaient une corporation de spécialistes que les journaux puissants, les revues riches se disputaient à prix d’or. Dès qu’un conflit, quelque part dans le monde, mettait des armées en présence, ils accouraient pour observer et décrire au jour le jour. La Guerre en Flandre est le résumé tout chaud des observations faites d’après nature… Commander le livre

  • Le Lion des Flandres

    15,10 

    La Bataille de Courtrai oppose, le 11 juillet 1302, l’armée Française aux milices communales flamandes. Les chevaliers français, impatients de récolter les fruits d’une victoire qu’ils jugent facile, s’élancent dans la précipitation. Ils n’ont que peu d’espace pour manœuvrer et beaucoup s’embourbent dans les marécages. Les chevaliers trop lourdement armés ne parviennent pas à s’extirper du bourbier, et seront massacrés par les combattants Flamands. Le nombre de pertes du côté français est colossal, dans les rangs de la noblesse, plus de 60 comtes et barons, et plusieurs centaines de chevaliers perdent la vie. Quand aux Flamands ils n’ont à déplorer que quelques centaines de morts. Les troupes flamandes victorieuses ramènent comme trophées les éperons d’or des chevaliers tombés lors de la bataille. Ces trophées orneront l’église Notre-Dame de Courtrai. Pour les Flamands, cette victoire sonne le début de leur indépendance et la naissance du sentiment national. La date de la Bataille des Éperons d’Or est choisie comme date historique. Le Lion des Flandres (De Leeuw van Vlaenderen) écrit par Henri Conscience est devenu le livre culte de la communauté flamande. « Ils ne le dompteront pas, le fier Lion de Flandre » Commander le livre