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5,20 €
Si vous riez, c’est grâce à eux, et si vous voyez encore la beauté du monde. Le rire de vos petits, chaque matin, vous le devez à ces Lazares qui ressuscitent, pour vous, chaque jour, de la tombe.Dans vos villes tranquilles, ils ne vous demandent pas de pleurer ; Mais de jouer avec mesure, de rire avec décence.Ils ne vous demandent pas de jeûner, dans un cilice ; Mais la douce gravité, que l’amour doit à l’absence : Car ils ne veulent rien de vous que d’être aimés. Commander le livre Ceux de Verdun
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8,02 €
Cléopâtre est représentée en Isis, superbe, séduisante au plus haut-degré ; la beauté physique, c’est elle. Il suffit de contempler cette Cléopâtre pour comprendre la faiblesse de César ! La coiffure a beaucoup d’élégance et de distinction, les cheveux nattés en filet sur la tête pendent sur la nuque et les épaules en tresses nubiennes ; le visage est noble, fin, une aile se déploie à chaque tempe, et sur le front se dresse un petit serpent ; le sein, les bras sont nus, richement ornés de joyaux ; une ceinture presse la taille au-dessous de la gorge et maintient la tunique étroite qui descend jusqu’à la cheville; à ses pieds brillent des bijoux. Les inscriptions la désignent sous le vocable : « Cléopâtre, Maîtresse du Monde » Commander le livre
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15,90 €
Dans Clio, Charles Péguy donne la parole à la muse de l’Histoire, une incarnation dérisoire des méthodes historiques modernes et du progrès. Elle amène également à des considérations sur le paganisme et le christianisme. La réflexion de Péguy, à partir du thème du vieillissement et du temps, se concentre ensuite sur la création littéraire et artistique, des poèmes d’Homère aux Nymphéas du peintre Monet, des Châtiments de Hugo à l’oeuvre de Beaumarchais. Enfin Péguy revient sur l’affaire Dreyfus, pour laquelle il s’est tant passionné. Commander le livre
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9,05 €
Don Juan d’Autriche est un véritable héros de l’histoire. Jeune et brave, il apparut au monde chrétien comme le héros choisi pour détruire les infidèles et l’Empire Ottoman. À Rome le pape Pie V qui avait conçu le projet d’une force maritime pour mener la croisade contre les Turcs donna le commandement à Don Juan. La Sainte Ligue fut proclamée au Vatican le 25 mai 1571 et le pape invita toutes les puissances chrétiennes à y adhérer. Ce récit trouve sa finalité le 7 octobre 1571 avec l’une des plus grandes batailles de l’histoire navale: Lépante, le 7 octobre 1571. Commander le livre
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6,50 €
Bernard, supérieur de l’abbaye de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153. Directeur de conscience et important promoteur de l’ordre cistercien, il recherche l’amour du Christ par la mortification la plus dure. Il fait preuve, toute sa vie, d’une activité inlassable pour instruire ses moines, pour émouvoir et entraîner les foules, pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l’Église catholique mettront en œuvre.
C’est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque, marquée par une profonde transformation de l’économie, de la société et du pouvoir politique. Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l’Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. Avec son Éloge de la Nouvelle Chevalerie il dresse ici le portrait des Templiers et leur mission, une chevalerie destinée à défendre les lieux saints et la justice. Commander le livre Éloge de la Nouvelle Chevalerie
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12,10 €
Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation. Unique en Europe, la conformation de la France se prêtait à tous les échanges de courants, ceux du sang, ceux des idées. La France est un isthme, une voie de grande communication entre le Nord et le Midi. Il y avait, avant la conquête romaine, de prodigieuses différences entre la colonie grecque de Marseille et les Cimbres d’entre Seine et Loire ou les Belges d’entre Meuse et Seine. D’autres éléments se sont ajoutés au cours des siècles. Le mélange s’est formé peu à peu, ne laissant qu’une heureuse diversité. De là viennent la richesse intellectuelle et morale de la France, son équilibre, son génie. Jacques Bainville Commander le livre
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6,90 €
Entre la France et l’Allemagne, ce fut la France qui, par sa culture intellectuelle et son charme, rattacha l’Alsace à la grande tradition gréco-latine. Ce fut elle encore qui lui donna la conscience de la liberté. À travers ces deux grandes révélations, l’Alsace se découvrit elle-même. C’est pour cela qu’elle ne veut plus et ne pourra plus être séparée de sa libératrice. Histoire de l’Alsace Française de 1871 à aujourd’hui. Commander le livre
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9,90 €
Né barbare, élevé parmi des barbares, le roi Clovis a trouvé dans son génie les moyens de s’élever au-dessus de l’ignorance de sa nation, et de comprendre les besoins d’ordre et de régularité qui seuls peuvent fonder un véritable empire. Cet esprit qu’on le vit développer si glorieusement pendant tout le cours de son règne à la suite à son baptême à Reims, s’est manifesté dès les premiers temps dans ses rapports avec ses hommes, c’est là que lui fût concilié, d’une manière si marquante, comme l’atteste l’épisode du vase de Soissons, leurs espérances et leur faveur. Commander le livre L’Héritage de Clovis roi des Francs
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6,80 €
Cette haute idée de la France, les ambitions de Philippe-Auguste en même temps que les résultats acquis de sa politique, c’est tout cela qui est en question, le jour de la bataille de Bouvines. Le 27 juillet 1214 est une date décisive, symboliquement forte pour l’histoire de la France. La Bataille de Bouvines marque un tournant par ses conséquences et son grand retentissement. Commander le livre La Bataille de Bouvines
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6,50 €
« Ami Roland, sonnez votre olifant ; Charles, en train de franchir les défilés, l’entendra. Je vous assure que les Francs retourneront,— À Dieu ne plaise, lui répond Roland, Que jamais homme vivant puisse dire Que j’ai sonné du cor pour des païens ! Mes parents n’en auront pas de reproche. Quand je serai dans la grande bataille Je frapperai mille et sept cents coups, Vous verrez de Durandal l’acier sanglant, Les Français sont bons et frappent en braves ; La bataille est merveilleuse et pesante, Olivier et Roland s’y comportent très bien. L’archevêque y rend plus de mille coups, Les douze Pairs ne sont point en retard. Les païens meurent par cents et par mille. Qui ne s’enfuit ne peut échapper à la mort ; Qu’il le veuille ou non, il y termine sa vie. Les Français y perdent leurs meilleurs champions,Ils ne reverront plus leurs frères, ni leurs parents, Ni Charlemagne qui les attend aux défilés. En France, il y a une tempête extraordinaire Un orage de tonnerre et de vent, De la pluie et du grésil démesurément. Commander le livre
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7,95 €
Vercingétorix décide de faire partir nuitamment tous ses cavaliers avant que les Romains n’achèvent leurs travaux d’investissement. En se séparant d’eux, il leur donne mission d’aller chacun dans leur pays et d’y réunir pour la guerre tous les hommes en âge de porter les armes. Il leur expose ce qu’ils lui doivent, et les conjure de songer à son salut, de ne pas le livrer aux tortures de l’ennemi, lui qui a tant fait pour la liberté de la patrie. Il leur montre que s’ils ne sont pas assez actifs, quatre vingt mille hommes d’élite périront avec lui. D’après ses calculs, il a tout juste trente jours de blé, mais il est possible, avec un strict rationnement, de subsister un peu plus longtemps encore. Après leur avoir confié ce message, il fait partir ses cavaliers en silence, pendant la deuxième veille, par le passage qui s’ouvrait encore dans nos lignes. Il réquisitionne tout le blé ; il décrète la peine de mort contre ceux qui n’obéiront pas ; il donne à chaque homme sa part du bétail; le blé, il le distribue parcimonieusement et peu à peu ; il fait rentrer dans la ville toutes les troupes qu’il avait établies sous ses murs. C’est par ces mesures qu’il s’apprête à attendre le moment où la Gaule le secourra, et qu’il règle la conduite de la guerre. Commander le livre La Guerre des Gaules
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8,20 €
Les correspondants militaires, seuls, peuvent avoir une vue d’ensemble, contemporaine des événements. Jusque vers la fin du XIXe siècle, ils formaient une corporation de spécialistes que les journaux puissants, les revues riches se disputaient à prix d’or. Dès qu’un conflit, quelque part dans le monde, mettait des armées en présence, ils accouraient pour observer et décrire au jour le jour. La Guerre en Flandre est le résumé tout chaud des observations faites d’après nature… Commander le livre
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12,15 €
La place de la femme a beaucoup évolué au cours de l’histoire. Certaines ont su user de charmes et de tactiques pour se démarquer et parvenir à leurs fins. L’étude de la mode à travers les siècles se révèle particulièrement enrichissante. Héloïse, Jeanne de Flandre , Anne de Bretagne, Isabeau de Bavière, Diane de Poitiers, Catherine de Médicis, Marie Thérèse d’Autriche…Portraits illustrés de Femmes qui ont marqué l’histoire par leur statut et leur beauté. Commander le livre
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6,90 €
En 1491, Anne de Bretagne épouse le roi de France Louis XII. C’est l’épilogue de plus d’un siècle de conflits entre la monarchie centralisatrice et un véritable État. Après avoir étudié la Bretagne dans le long cours de sa vie nationale, il reste à la montrer conservant au sein de la grande unité française ses lois, ses libertés et ses mœurs. Quelles luttes constitutionnelles n’eut-elle pas à soutenir, malgré l’évidence de ses titres, et à quelles extrémités ne dut pas conduire durant trois siècles l’antagonisme permanent de la liberté provinciale contre l’arbitraire ministériel, l’institution monarchique. Commander le livre
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6,00 €
Napoléon s’est merveilleusement acquitté de la seule mission qu’il eût reçue du ciel, celle de préparer le terrain pour un lointain avenir. Foudroyant symbole de l’égalité révolutionnaire et du droit souverain du génie, le soldat-roi résumait dans sa personne les idées même qu’il avait vaincues, et dont il aspirait la sève. Deux choses sont donc à distinguer dans Napoléon, deux choses qui donnent la clé de tant de jugements incohérents, de tant de contradictions apparentes : sa mission et sa politique, son œuvre et sa volonté. Par l’une, il marcha toujours vers le but assigné à sa vie, lors même que par l’autre il sembla vouloir s’en détourner. C’est pour cela que l’instinct du peuple l’absout dans ses fautes et le glorifie jusque dans ses abaissements. Le sceau de la Providence est sur cette tête ; elle est sacrée pour l’humanité tout entière. Commander le livre
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6,90 €
La terre nous donne une discipline, et nous sommes les prolongements des ancêtres. Voilà sur quelle réalité nous devons nous fonder. Il faut raciner les individus dans la terre et dans les morts. Commander le livre
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7,50 €
Retrouvée sur l’île de Milos en avril 1820, la Vénus de Milo est une œuvre originale qui remonte à 150 – 130 avant Jésus-Christ. Son exposition au Louvre fit sensation, c’était la première fois qu’une statue grecque faisait sont entrée dans les collections du musée. Sa célébrité ne s’est jamais démentie depuis lors. On admire la grande beauté de son corps à demi dénudé, la Vénus fût aussi l’objet de polémiques suscitées par son identité et la position de ses bras. Ce livre retrace cette aventure hors-norme. Commander le livre
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5,50 €
« C’est Dieu qui a fait les peuples et qui leur a partagé la terre, et c’est aussi Lui qui a fondé au milieu d’eux une société universelle et indivisible ; c’est lui qui a fait la France, et qui a fondé l’Église. De telle sorte que nous appartenons tous à deux cités, que nous sommes soumis à deux puissances, et que nous avons deux patries : la cité éternelle et la cité terrestre, la puissance spirituelle et la puissance temporelle, la patrie du sang et la patrie de la foi. Et ces deux patries, quoique distinctes, ne sont pas ennemies l’une de l’autre, bien loin de là ».
Henri Lacordaire, de retour dans la chaire de la cathédrale de Paris, offre ici une clef pour réconcilier la France avec tout son passé, il ouvre la perspective d’un avenir conforme à son mérite et à sa gloire, la rupture de 1789 n’a pas anéanti le cœur de la nation. Commander le livre
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8,80 €
En remontant le cours des âges, l’histoire est jalonnée par ces hommes qui portent au front le signe indélébile de leur œuvre sociale. Charlemagne constitua la chrétienté par l’empire, Philippe-Auguste délimita la France, Du Guesclin et Jeanne d’Arc en ont assis la nationalité par une lutte populaire. Louis XI a fondé le système politique de la monarchie au sein de l’Europe moderne ; François Ier appliqua ce système avec plus d’héroïsme que d’intelligence ; Henri IV l’entrevit à travers les orages de son règne ; enfin le Cardinal de Richelieu vint, qui le premier l’embrassa d’un coup d’œil net et ferme, et eut à la fois assez de sagacité pour le comprendre dans ses plus minutieux détails et assez de puissance pour le faire triompher. Richelieu, ministre de Louis XIII entreprit d’élever, dans l’indépendance de sa force et l’originalité de son génie, l’édifice de la monarchie française. Commander le livre
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6,40 €
Cet ouvrage sur Bertrand Du Guesclin (1320-1380) est l’occasion naturelle pour appeler l’attention publique sur cet homme extraordinaire, dont la lumineuse figure brille à l’entrée de notre histoire moderne. Sa gloire n’est méconnue par personne ; mais nous avons espéré la faire mieux comprendre, et la légitimer encore en l’expliquant. Commander le livre
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7,80 €
Le couronnement de Charlemagne n’est pas un acte isolé ; il se rattache à une série de faits antérieurs qui l’ont amené et préparé. Quand on lit les textes de l’époque mérovingienne, on est frappé de voir combien le souvenir de l’empire romain s’était conservé chez les populations. On le rencontre partout, dans les édits des rois comme dans les formules des actes privés, dans les lettres de personnages de toute condition aussi bien que dans les chroniques. On suit de génération en génération les marques toujours visibles du respect qui s’attachait à cet ancien empire. Parmi ces écrits si divers, les uns nous viennent de Gallo-Romains, les autres de Germains ; leur ton à l’égard de l’empire est le même. Jamais un mot de haine ou de mépris ; le seul sentiment qui se laisse voir, sans distinction de race, est celui de la vénération. Commander le livre
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6,80 €
Domrémy-la-Pucelle, ce n’est pas là un pays vide et creux, c’est une terre toute pleine, chargée d’esprit ! Jeanne s’y appuie sur un long passé et sur d’abondantes richesses imaginatives. Ce touchant village très simple, sur sa mince rivière, développe pour des yeux pénétrants des formes riches et variées de sens, un vaste horizon digne de celle qui en fait le point central. C’est un grand sujet à saisir et à considérer hardiment que l’ensemble formé par la petite maison natale accolée à son église, avec l’entourage que lui font la côte païenne du Bois-Chenu, la retraite si pure de Bermont et la côte romaine qui porte “le camp de Julien”. Pendant longtemps, ce paysage où grandit la petite fille, et tous ces beaux témoins de sa vie obscure, ne furent pour moi qu’un précieux bijou dans la solitude, un objet de vénération, une relique où nous avions à goûter les plaisirs de l’attendrissement plus que les bénéfices de la réflexion. Mais à chaque fois que je revois ce lieu saint, de puissantes clartés m’accueillent, et je parviens à saisir des rapports émouvants et vrais entre Jeanne et cette terre. Commander le livre
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15,10 €
La Bataille de Courtrai oppose, le 11 juillet 1302, l’armée Française aux milices communales flamandes. Les chevaliers français, impatients de récolter les fruits d’une victoire qu’ils jugent facile, s’élancent dans la précipitation. Ils n’ont que peu d’espace pour manœuvrer et beaucoup s’embourbent dans les marécages. Les chevaliers trop lourdement armés ne parviennent pas à s’extirper du bourbier, et seront massacrés par les combattants Flamands. Le nombre de pertes du côté français est colossal, dans les rangs de la noblesse, plus de 60 comtes et barons, et plusieurs centaines de chevaliers perdent la vie. Quand aux Flamands ils n’ont à déplorer que quelques centaines de morts. Les troupes flamandes victorieuses ramènent comme trophées les éperons d’or des chevaliers tombés lors de la bataille. Ces trophées orneront l’église Notre-Dame de Courtrai. Pour les Flamands, cette victoire sonne le début de leur indépendance et la naissance du sentiment national. La date de la Bataille des Éperons d’Or est choisie comme date historique. Le Lion des Flandres (De Leeuw van Vlaenderen) écrit par Henri Conscience est devenu le livre culte de la communauté flamande. « Ils ne le dompteront pas, le fier Lion de Flandre » Commander le livre
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10,40 €
D’une visite, même rapide, au Mont Saint-Michel, se dégage une impression d’admiration profonde pour les générations qui ont élevé ces murs et qui y ont vécu. Cette admiration n’est pas sans un certain mélange d’étonnement, en présence des proportions gigantesques qu’affectent toutes les parties du superbe édifice. Il semble que ceux qui ont construit ces immenses salles, ces cheminées énormes, ces degrés majestueux, aient été des colosses. À travers les pages, cet ouvrage s’efforce de reconstituer les scènes grandioses dont le Mont a été le théâtre, les principaux personnages ainsi que leur rôle dans l’édification et la pérennité du Mont Saint-Michel. Commander le livre