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  • Le Peuple Basque

    8,02 

    Le nom du peuple basque réveille des idées agréables chez la plupart des voyageurs qui se sont promenés sur les rivages du golfe de Gascogne, entre Bayonne et Bilbao. En se rappelant les gracieux paysages de la contrée, on est tout naturellement disposé à prononcer un jugement favorable sur la race elle-même : les sites jettent un reflet de leur splendeur sur les hommes qu’on y a vus, et la beauté physique des populations contribue aussi, pour une forte part, à leur faire concéder bien des mérites. Commander le livre

  • Le procès de Jeanne d’Arc

    15,00 

    Les minutes du procès de condamnation de Jeanne d’Arc offrent l’image authentique de la plus grande sainte de notre histoire de France. Une jeune paysanne de 19 ans déjoue les pièges des docteurs de la loi. Ses réponses reflètent l’éclat de sa force et la pureté de sa foi. On se surprend, comme Jeanne, à garder l’espoir d’une autre issue. Commander le livre

  • Le rôle colonial de l’armée

    8,20 

    Le soldat se montre d’abord soldat, ainsi qu’il est nécessaire pour en imposer aux populations encore insoumises ; puis, la paix obtenue, il dépose les armes. Il devient administrateur…Ces fonctions administratives semblent incompatibles, au premier abord, avec l’idée qu’on se fait du militaire dans certains milieux. C’est là cependant le véritable rôle de l’officier colonial et de ses dévoués et intelligents collaborateurs, les sous-officiers et soldats qu’il commande. C’est aussi le plus délicat, celui qui exige le plus d’application et d’efforts, celui où il peut révéler ses qualités personnelles, car détruire n’est rien, reconstruire est plus difficile. Commander le livre

  • Le rôle social de l’Officier

    5,00 

    Nul n’est mieux placé que l’officier pour exercer sur ses subordonnés une action efficace. En contact immédiat avec eux, il partage entièrement leurs travaux, leurs fatigues, et n’en tire néanmoins aucun profit. Son gain ne dépend pas, comme celui des industriels, de la peine de ses hommes. Leurs intérêts sont, non plus opposés, mais semblables. L’autorité dont il est investi repose sur la loi, elle a une sanction légale, elle échappe à toute discussion, à tout compromis. Lui-même est soumis à cette discipline inflexible. Des règlements précis fixent la limite de ses exigences professionnelles. Tout concourt à dégager son indépendance personnelle et le désintéressement de son action. Maréchal Hubert Lyautey. Commander le livre

  • Le Voyage de Marie-Antoinette : De Vienne à Versailles

    5,50 

    La Dauphine aperçut Louis XV. Elle courut se jeter à ses pieds, et parut un instant comme embarrassée sous son regard plus curieux que paternel. Louis XV la releva, l’embrassa tendrement, la trouva mieux que son portrait, la présenta au Dauphin qui, plus interdit qu’elle, la regardait presque à la dérobée, et, pour parler le langage officiel, « la salua à la joue. » Commander le livre

  • Les Templiers

    7,90 

    Les templiers devaient toujours accepter le combat, fut-ce d’un contre trois. « Allez heureux, allez paisibles, leur disait saint Bernard ; chassez d’un cœur intrépide les ennemis de la croix de Christ. En tout péril, redites-vous la parole : Vivants ou morts, nous sommes au Seigneur… Glorieux les vainqueurs, heureux les martyrs ! » Le soldat a la gloire, le moine le repos. Le templier abjurait l’un et l’autre. Il réunissait ce que les deux vies ont de plus dur : les périls et les abstinences. L’idéal de la croisade semble réalisé dans l’ordre du Temple. C’est aussi la représentation d’une croisade spirituelle, une guerre mystique que le chrétien soutient jusqu’à la mort contre l’ennemi intérieur. Associés aux hospitaliers c’est aux templiers que l’on doit la défense des saints lieux. Commander le livre

  • Les Traits éternels de la France

    6,95 

    Mois d’août 1914 ! L’appel aux armes retentit. Les cloches, dans tous les villages, s’ébranlent sur la vieille église dont le fondement repose au milieu des morts. Elles sont redevenues soudain les voix de la terre de France. Elles convoquent les hommes, elles plaignent les femmes ; leur clameur est si forte qu’il semble qu’elle pourrait briser la pierre des tombeaux, et tout de suite elle fait sortir du cœur français tout ce qu’il renferme. On sait que les fils de France sont braves. Commander le livre

  • Napoléon

    11,50 

    Cette biographie de Napoléon a été saluée pour le sérieux de ses sources et la qualité de son écriture. Jacques Bainville traite son sujet sans préjugés, dépassant la simple narration pour approfondir et analyser les événements. Le portrait qu’il fait de Napoléon est criant de vérité, aussi bien par son génie que par ses dérives. Une œuvre majeure à redécouvrir à l’occasion du Bicentenaire de la mort de l’Empereur. Commander le livre Napoléon

  • Un Amiral de 24 ans : L’épopée de Don Juan D’Autriche à La Bataille de Lépante

    6,80 

    Don Juan d’Autriche, lorsqu’il livra, le 7 octobre 1571, la plus grande bataille navale des temps modernes, avait l’âge d’Alexandre à Issus, d’Hannibal en Espagne, de Bonaparte à Toulon. L’honneur de la victoire de Lépante lui appartient sans conteste, sans lui, la campagne de 1571 avortait comme celle de 1570, le grand combat n’eût jamais été livré. Commander le livre

  • Un Soldat de Verdun

    4,60 

    « Messieurs, Verdun est menacé. Vous êtes à Verdun et vous êtes la brigade de Verdun… Je n’ai pas à vous cacher la vérité. Nous avons été surpris… Je n’ai pas à vous cacher les fautes. Nous avons à les réparer…Le secteur que nous prenons ? Un chaos… La vie qui nous y attend ? La bataille… Les tranchées ? Elles n’existent pas… Ne me demandez pas de matériel. Je n’en ai pas… Des renforts. Je n’en ai pas… Bon courage, Messieurs… » Connaissez-vous dans toute l’histoire militaire une harangue où frémisse plus douloureusement la grande âme d’un chef donnant à des gens de cœur ce simple mot d’ordre : « Faites-vous tuer ! » Commander le livre Un Soldat de Verdun