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  • De la religion considérée dans ses rapports avec l’ordre politique et civil

    9,50 

    Jésus-Christ en instituant un ministère public, une hiérarchie de pouvoirs gradués jusqu’au pouvoir suprême un et universel comme la religion qu’il devait perpétuer, unit tous ses disciples dans une société, non seulement spirituelle, mais aussi extérieure et visible, et dont la notion même exclut l’idée de limites. C’est ainsi que le christianisme, universel par ses dogmes, par son culte, par ses préceptes, c’est-à-dire comme loi d’ordre et de vérité, est encore par la constitution divine de l’Église, l’institution sociale universelle. et de là sa force prodigieuse : s’il agit sur tout l’homme et sur tous les hommes par la puissance de sa doctrine, il agit sur la société par le sacerdoce, et ramenant tout à l’unité, qui est son essence, il travaille perpétuellement à établir entre les membres de la famille humaine l’union la plus parfaite qu’il nous soit donné de concevoir. Qu’ils soient un comme nous sommes un ! Cette prière que Jésus-Christ adressait à son père, et qu’il ne lui adressa pas en vain, montrait le but du christianisme. Commander le livre

  • L’Amérique aux Américains

    5,90 

    La doctrine du président Monroë (1823) demeure d’actualité elle est résumée dans ces trois mots : « America for Americans » c’est-à-dire l’Amérique aux Américains. Unanimement approuvée par tous les partis politiques aux États-Unis, le message présidentiel reçut un fort mauvais accueil de l’Europe continentale, indignée qu’une nation de parvenus voulut, au mépris des puissances civilisées du monde, faire prévaloir ce nouveau principe. Si, au contraire, le verdict d’approbation fut unanime aux États-Unis, c’est que Monroë avait résumé en quelques formules des idées qui, depuis des années déjà, trouvaient un écho dans le cœur des Américains. Un message toujours scandé avec la même vigueur 200 ans après, dans l’Amérique de Trump. Commander le livre

  • La Vocation de la Nation Française

    5,50 

    « C’est Dieu qui a fait les peuples et qui leur a partagé la terre, et c’est aussi Lui qui a fondé au milieu d’eux une société universelle et indivisible ; c’est lui qui a fait la France, et qui a fondé l’Église. De telle sorte que nous appartenons tous à deux cités, que nous sommes soumis à deux puissances, et que nous avons deux patries : la cité éternelle et la cité terrestre, la puissance spirituelle et la puissance temporelle, la patrie du sang et la patrie de la foi. Et ces deux patries, quoique distinctes, ne sont pas ennemies l’une de l’autre, bien loin de là ».
    Henri Lacordaire, de retour dans la chaire de la cathédrale de Paris, offre ici une clef pour réconcilier la France avec tout son passé, il ouvre la perspective d’un avenir conforme à son mérite et à sa gloire, la rupture de 1789 n’a pas anéanti le cœur de la nation. Commander le livre

  • Le Cardinal de Richelieu

    8,80 

    En remontant le cours des âges, l’histoire est jalonnée par ces hommes qui portent au front le signe indélébile de leur œuvre sociale. Charlemagne constitua la chrétienté par l’empire, Philippe-Auguste délimita la France, Du Guesclin et Jeanne d’Arc en ont assis la nationalité par une lutte populaire. Louis XI a fondé le système politique de la monarchie au sein de l’Europe moderne ; François Ier appliqua ce système avec plus d’héroïsme que d’intelligence ; Henri IV l’entrevit à travers les orages de son règne ; enfin le Cardinal de Richelieu vint, qui le premier l’embrassa d’un coup d’œil net et ferme, et eut à la fois assez de sagacité pour le comprendre dans ses plus minutieux détails et assez de puissance pour le faire triompher. Richelieu, ministre de Louis XIII entreprit d’élever, dans l’indépendance de sa force et l’originalité de son génie, l’édifice de la monarchie française. Commander le livre

  • Le Livre du Peuple

    10,90 

    Ce livre, cher lecteur, t’offrira peut-être quelques enseignements utiles ; il t’instruira de tes droits et de tes devoirs ; il t’apprendra combien il t’importe de défendre les uns avec fermeté et d’accomplir fidèlement les autres. Car, sans devoir, qu’est-ce que l’homme ? une espèce de monstre isolé, dépourvu de liens, de relations sympathiques, d’amour, retiré en lui-même comme la bête de proie dans son antre, et vivant là d’une vie solitaire, morne, aveugle, poussé par la faim et la rapine ; et dormant quand il est repu. Toutes choses ne sont pas en ce monde comme elles devraient être. Il y a trop de maux et des maux trop grands. Ce n’est pas là ce que Dieu a voulu. Commander le livre

  • Note sur la Suppression Générale des Partis Politiques

    5,00 

    Comment donner aux hommes qui composent le peuple de France la possibilité d’exprimer un jugement sur les grands problèmes de la vie publique ? Comment empêcher, au moment où le peuple est interrogé, que circule à travers lui des intérêts qui ne lui appartiennent pas ?
    Les solutions ne sont pas faciles à concevoir. Mais il est évident, après examen attentif, que toute solution impliquerait d’abord la suppression des partis politiques. Un tabou de l’homme démocratique moderne.
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  • Paroles d’un croyant

    7,10 

    « Il y a les hommes qui n’aiment qu’eux-mêmes; et ceux-ci sont les hommes de haine, car n’aimer que soi, c’est haïr les autres. »« Le travail est partout et la souffrance partout: seulement il y a des travaux stériles et des travaux féconds, des souffrances infâmes et des souffrances glorieuses. »Écrit par Félicité Robert de Lamennais en avril 1834, Paroles d’un croyant est un écrit lyrique devenu un classique de la pensée sociale et religieuse. Commander le livre

  • Poèmes de Fresnes

    9,50 

    En 1944, Robert Brasillach, est arrêté et emprisonné à la prison de Fresnes, puis condamné à mort pour ses écrits, incarcéré dans sa cellule il attendait son exécution.Les Poèmes de Fresnes ont été écrits alors que l’auteur n’avait ni stylo ni papier. Il avait réussi à se procurer une plume qu’il cachait et du papier qu’il arrachait d’un carnet. C’est par son avocat que ces poèmes sont sortis de cette prison de Fresnes.