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7,70 €
Le Roman de Renart est un recueil daté du Moyen Âge (XIIe siècle). Des récits en langue romane (en français), et non en latin qui sont destinés à divertir les gens du peuple. Les animaux personnifiés, adoptent des caractères humains. Au fil des nombreuses histoires, on découvre les méfaits du personnage principal Renart, qui s’en sort toujours. C’est une véritable satire sociale, est par essence malicieuse, pittoresque, et le plus souvent réaliste. Ce texte peut être interprété comme une critique sociale des classes dominantes ou comme une étude psychologiques des caractères. (Une nouvelle édition adaptée). Commander le livre
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4,40 €
En automne vinrent des bûcherons qui abattirent quelques-uns des plus grands arbres ; tous les ans ils en firent autant. Le jeune sapin ne les voyait plus qu’avec terreur ; car les grands et magnifiques arbres tombaient avec fracas sous leurs cognées. On en coupait les branches, et ils avaient alors l’air si nus et si décharnés qu’on pouvait à peine les reconnaître. Puis on les chargeait sur une voiture, et les chevaux les traînaient hors de la forêt. Où allaient-ils ? Que devenaient-ils. Commander le livre
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9,00 €
Le sourire est une expression du visage témoignant de la sympathie. Il se forme par la tension de muscles, plus particulièrement aux deux coins de la bouche, mais aussi autour des yeux. Il exprime généralement le plaisir ou l’amusement, mais aussi l’ironie, et joue ainsi un rôle social important. Le cerveau humain est capable d’isoler un sourire du reste du visage. Le sourire est une attitude assimilée par renforcement comme positive, et cela dès la naissance, il est génétiquement déterminé, puisqu’il apparaît chez des enfants sourds et aveugles de naissance. Commander le livre
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6,95 €
Le Parthénon, Que de tribulations n’a-t-il pas éprouvées ! À peine avait-il plus d’un siècle, — et c’est la petite jeunesse d’un monument, — il fut transformé en harem : Démétrios Poliorcète y installa ses courtisanes et lui. Le temple devint un palais, et voluptueux. Il nous est difficile d’imaginer qu’Athéna soit restée en telle compagnie. Ensuite, le temple devint une église chrétienne ; la statue chryséléphantine d’Athèna fut emportée à Constantinople, et la Théotokos, Vierge mère, la remplaça. Dans le pronaos, aménagé en abside, on établit l’autel, sur les murs, on peignit des fresques saintes, et l’on substitua au plafond une voûte qui eût la forme du ciel mystique. Commander le livre
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9,10 €
À ne les juger que par les impressions qu’elles produisent, impressions toutes de respect, de recueillement et de piété, les églises gothiques charment et touchent profondément; et c’est vainement que la froide et sévère raison s’efforce de détruire un effet qui s’adresse au goût et au sentiment. Les édifices de ce style qui couvrent notre pays, sont les monuments sacrés de notre culte, les témoins respectables de notre histoire; il s’agit de les entourer de tous les soins que leur vieillesse exige, que leur caducité réclame; il s’agit de les conserver, de les perpétuer, s’il est possible, aussi longtemps que les glorieux souvenirs qui les consacrent, aussi longtemps que vivra la langue et le génie de la France. Commander le livre
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15,10 €
La croix, avons-nous dit, est un symbole qui, sous des formes diverses, se rencontre à peu près partout, et cela dès les époques les plus reculées ; elle est donc fort loin d’appartenir proprement et exclusivement au Christianisme comme certains pourraient être tentés de le croire. Il faut même dire que le Christianisme, tout au moins sous son aspect extérieur et généralement connu, semble avoir quelque peu perdu de vue le caractère symbolique de la croix pour ne plus la regarder que comme le signe d’un fait historique ; en réalité, ces deux points de vue ne s’excluent aucunement, et même le second n’est en un certain sens qu’une conséquence du premier. Si le Christ est mort sur la croix, c’est pouvons-nous dire, en raison de la valeur symbolique que la croix possède en elle-même et qui lui a toujours été reconnue par toutes les traditions ; c’est ainsi que, sans diminuer en rien sa signification historique, on peut la regarder comme n’étant que dérivée de cette valeur symbolique même. Commander le livre
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5,50 €
La Dauphine aperçut Louis XV. Elle courut se jeter à ses pieds, et parut un instant comme embarrassée sous son regard plus curieux que paternel. Louis XV la releva, l’embrassa tendrement, la trouva mieux que son portrait, la présenta au Dauphin qui, plus interdit qu’elle, la regardait presque à la dérobée, et, pour parler le langage officiel, « la salua à la joue. » Commander le livre
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9,90 €
Les vikings étaient indifféremment marins, fantassins ou cavaliers, selon que le demandaient les circonstances des expéditions. Leur costume était plutôt celui de marins que de soldats. Leurs navires étaient de belles galères, à cinquante rangs de rames, pouvant contenir de cent cinquante à deux cents hommes d’équipage, très allongées sur les flancs, très hautes et très recourbées à la poupe et à la proue. Artistement travaillées, peintes et dorées à leurs extrémités, munies de voiles composées de bandes alternées de couleur bleue, rouge et verte, décorées d’ornements et de figures sculptées, on les nommait dragons ou serpents de guerre, parce qu’elles présentaient la forme d’un serpent dont la proue montrait la tête, dont les flancs dessinaient les replis, et dont la poupe figurait la queue. Commander le livre
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12,50 €
Les Épîtres de Saint Paul sont un ensemble de lettres attribuées à l’apôtre Paul de Tarse et adressées à différentes communautés chrétiennes du Ier siècle. Dès la fin du Ier siècle, la plupart des communautés chrétiennes utilisaient ces textes dans leur liturgie. Les lettres communautaires traitent de la vie des communautés. Les lettres eschatologiques présentent l’espérance chrétienne et l’attente du retour glorieux du Christ. Les lettres de captivité écrites par Saint Paul durant son emprisonnement à Césarée puis à Rome entre 58 et 63. Les lettres pastorales traitent de l’organisation communautaire. Témoins de la transmission apostolique qui a donné naissance aux évêques, considérés comme les successeurs des apôtres. Commander le livre Les Épitres de Saint Paul
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12,80 €
Ce livre, qui va des sommets des Vosges aux Landes de Bretagne et jusqu’à la pointe extrême du Finistère, a été un voyage à la découverte de l’Âme celtique. L’Âme celtique est l’âme intérieure et profonde de la France. Elle n’a cessé de parler par les héros, les poètes et les penseurs de la France. Je l’ai cherchée ici, à sa source, dans quelques-unes de nos vieilles légendes et dans les paysages qui furent leur berceau.En adoptant pour ce livre le titre de Grandes Légendes de France, j’ai la conscience de n’avoir fait que peu de pas dans un vaste domaine. Jusqu’à présent, la légende n’a été guère chez nous qu’un objet d’érudition ou de fantaisie. Mais souvent les fils oublieux ne se souviennent plus de leurs ancêtres. J’ai tenté de faire revivre ces premiers prophètes de notre race, qui savaient le passé et voyaient l’avenir, parce qu’ils vivaient dans l’Éternel-Présent.Par les « grandes légendes de France », je voudrais qu’on entende celles qui, dépassant l’intérêt local, ont quelque rapport avec le développement national de la France et prennent une valeur symbolique dans son histoire, parce qu’elles représentent un élément essentiel de son âme collective. Commander le livre
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7,70 €
Sentez-vous cette odeur ? C’est celle de la lavande ! Entendez-vous ce vent ? C’est le Mistral ! Et ce bruit au loin ? Ce sont les sabots des ânes! Vous êtes en Provence ! Dans Les Lettres de mon Moulin, Alphonse Daudet rend hommage à sa Provence natale. L’abbé oublie sa messe avant le réveillon, le sous-préfet bâcle son discours et se roule dans l’herbe, la chèvre de Monsieur Seguin cherche la liberté et trouve le loup. Des récits pleins de charme qui continuent d’être appréciés de génération en génération. Retrouvez le texte original dans une nouvelle édition illustrée. Commander le livre
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7,40 €
Le tigre, par sa taille, sa force et son courage surpasse de beaucoup ses subalternes de l’espèce féline. Je n’oublierai jamais ce spectacle. J’avais trente-trois ans et n’avais point rencontré de tigres en liberté. Celui-ci était splendide, de la plus grande taille, plein de courage et de férocité. Il était déjà vieux. Quand il nous apparut, nous l’enfermions entre la jungle et la plaine cultivée, dans une sorte de clairière d’où la vue embrassait les champs et les villages environnants. Il eût pu fuir et nous dépister, d’autant plus aisément que nous ne pouvions, sous peine de grands dommages pour les habitants de ces plaines fertiles, engager les éléphants dans les plantations de jute et d’indigo. Il préféra nous faire tête. Commander le livre
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2,50 €
Carte pour la méditation des mystères du chapelet illustrés des grands chefs d’oeuvres de l’art sacré et des citations de la sainte écriture. (Offerte pour toute commande de 20 euros ou plus.)
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10,00 €
Paris, écoutez, je n’en rabattrai rien ! Paris tout entier vit dans une folie ardente, inguérissable, féconde, sublime, nourrice d’œuvres et d’efforts : la folie de l’Amour. Être aimé, aimer au milieu du luxe, tel est l’Idéal auquel sont gaiement sacrifiées toutes ces existences que broie l’impitoyable meule du Travail incessant.À Paris, derrière le milieu qu’on ambitionne, il y a toujours une figure de femme qui sourit et qui vous appelle avec le geste délicieux des sirènes. Ici les femmes savent comme nous quel est le but de la vie.À Paris seulement, elles sont déesses, adorées bien plutôt qu’aimées, et aussi elles ont la confiance et le respect de leur divinité. Sans cesse embellies et lavées à l’immortelle Jouvence, elles osent s’aimer elles-mêmes, et tâchent de gravir marche à marche l’escalier de cristal de la Perfection. Commander le livre
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7,50 €
Les phares, sur leur colonne de granit ou de fonte, ont bien une âme, et c’est celle des gardiens qui veillent sur eux, qui les entretiennent et assurent la régularité de leurs mouvements. Le personnel est exclusivement masculin. Les gardiens doivent être valides ; ils subissent à cet effet un examen médical qui porte sur la vue et l’état général de la constitution ; la limite d’âge pour l’entrée en fonction, fixée d’abord à quarante ans, a été abaissée à trente-cinq ; une certaine instruction est requise ; le postulant n’est nommé enfin qu’après un stage qui permet d’apprécier son intelligence et sa moralité. Commander le livre
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Catherine s’arrêta : « Ayant levé les yeux, elle aperçut de l’autre côté de la vallée, au-dessus du chevet de l’église des Frères Prêcheurs, un trône magnifique disposé avec une pompe royale ; et sur ce trône, Jésus-Christ le Rédempteur du monde, couronné de la tiare et revêtu des ornements pontificaux. Auprès de lui se trouvaient les princes des apôtres Pierre et Paul, et saint Jean l’Évangéliste. » À cette vue Catherine s’arrêta, frappée d’étonnement, et contempla son Sauveur, qui se manifestait si miraculeusement à elle pour lui prouver son amour. Alors il abaissa son regard sur elle, lui sourit amoureusement, étendit sa main droite et traça le signe de la croix. Et si puissante fut cette bénédiction de l’Éternel que, ravie hors d’elle-même, l’enfant qui par nature était timide resta là sur la voie publique, les yeux levés vers le ciel, au milieu du va-et-vient des hommes et des animaux. Commander le livre
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Les templiers devaient toujours accepter le combat, fut-ce d’un contre trois. « Allez heureux, allez paisibles, leur disait saint Bernard ; chassez d’un cœur intrépide les ennemis de la croix de Christ. En tout péril, redites-vous la parole : Vivants ou morts, nous sommes au Seigneur… Glorieux les vainqueurs, heureux les martyrs ! » Le soldat a la gloire, le moine le repos. Le templier abjurait l’un et l’autre. Il réunissait ce que les deux vies ont de plus dur : les périls et les abstinences. L’idéal de la croisade semble réalisé dans l’ordre du Temple. C’est aussi la représentation d’une croisade spirituelle, une guerre mystique que le chrétien soutient jusqu’à la mort contre l’ennemi intérieur. Associés aux hospitaliers c’est aux templiers que l’on doit la défense des saints lieux. Commander le livre Les Templiers
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6,40 €
Les derniers écrits du roi Louis XVI et de son épouse la reine Marie Antoinette réunis en un ouvrage unique. Bénissons mille fois la Providence qui nous a conservé ces leçons de toutes les vertus écrites sur les autels du crime, et sous les yeux mêmes des méchants. Relisons sans cesse ces Testaments précieux, si dignes de toute notre vénération. Nous y puiserons chaque jour plus d’horreur pour les temps dont nous sortons, plus d’espérances pour l’avenir, et plus d’amour pour nos souverains légitimes. Commander le livre Le Testament de Louis XVI
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6,95 €
Mois d’août 1914 ! L’appel aux armes retentit. Les cloches, dans tous les villages, s’ébranlent sur la vieille église dont le fondement repose au milieu des morts. Elles sont redevenues soudain les voix de la terre de France. Elles convoquent les hommes, elles plaignent les femmes ; leur clameur est si forte qu’il semble qu’elle pourrait briser la pierre des tombeaux, et tout de suite elle fait sortir du cœur français tout ce qu’il renferme. On sait que les fils de France sont braves. Commander le livre
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7,00 €
“… Quand je lis le catéchisme du concile de Trente, il me semble n’avoir rien de commun avec la religion qui y est exposée. Quand je lis le Nouveau Testament, les mystiques, la liturgie, quand je vois célébrer la messe, je sens avec une espèce de certitude que cette foi est la mienne, ou plus exactement serait la mienne sans la distance mise entre elle et moi par mon imperfection. Cela fait une situation spirituelle pénible. Je voudrais la rendre, non pas moins pénible, mais plus claire. N’importe quelle peine est acceptable dans la clarté.”“Combien notre vie changerait si on voyait que la géométrie grecque et la foi chrétienne ont jailli de la même source !”Simone Weil Commander le livre Lettre à un religieux
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4,90 €
Oh ! Mes frères ! Que ne pouvez-vous être instruits comme moi ! En vérité, il n’y aurait pas de Singes, ni de cheval, ni d’âne, qui ne donnât des ruades à l’homme, au lieu de le servir. Le taureau le poursuivrait. L’éléphant l’écraserait contre terre. Le lion quitterait les forêts pour venir l’assaillir dans les villes. Toute l’Animalité s’élèverait contre cet être fou, insensé, absurde, apostat de la Nature et de sa propre raison, qui se rend misérable ! Qui ne serait en effet révolté, de voir un homme, qui traite un autre homme pis que nous. Commander le livre
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7,07 €
Ces textes, ont pour origine les lettres que Schiller adressa au duc Frédéric-Christian de Schleswig-Holstein entre février et décembre 1793. Schiller soutient que le problème politique ne peut être résolu que par l’esthétique. L’éducation esthétique ennoblit les hommes, ce qui est la condition de leur agir moral. Il est vain de chercher à établir la liberté politique avant l’éducation politique des hommes.Le texte propose une analyse des facultés humaines. Il y a selon lui deux facultés fondamentales : la nature sensible et la nature raisonnable. Commander le livre
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13,00 €
Le genre humain est un seul arbre immense qui croît sur toute la terre et dont les branches la recouvrent entièrement. Son ancienne racine pourrie est greffée, grâce à la sagesse et à la clémence de Dieu, d’une nouvelle tige vivante qui est Notre Seigneur Jésus-Christ, dont les chrétiens tirent leur origine, comme un rameau la tire d’un arbre entier. Les arbres vivent d’une vie terrestre et organique ; le monde chrétien vit de la vie du Christ, vie spirituelle et céleste. Commander le livre
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11,50 €
Chacun sait comme le temps s’accélère ou se ralentit selon l’intensité de vie, selon les événements qui remplissent l’existence humaine. Le caractère mathématique du temps perd alors toute signification et l’existence humaine se libère de la montre et du calendrier. Si habituellement nous tenons tant à l’observation des heures, c’est que nous ne sommes guère heureux, c’est que nous sommes trop souvent misérables. L’inspiration créatrice elle aussi ignore le temps numérique. C’est toujours la marque de l’irruption de l’éternité dans le temps, dont elle règle le cours. Tout ce qui n’est pas éternel, tout ce qui n’a pas l’éternité pour origine et pour fin est dépourvu de toute valeur et destiné à disparaître; l’avenir lui réserve la mort, la fin dans le temps […] Le temps qui ne participe pas à l’éternité est une défection à l’égard de l’éternité. D’autre part, le temps est un moment de l’éternité et c’est en elle seulement qu’il trouve sa justification. Tel est le paradoxe à double tranchant du temps… Commander le livre