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  • Éloge de la Nouvelle Chevalerie

    6,50 

    Bernard, supérieur de l’abbaye de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153. Directeur de conscience et important promoteur de l’ordre cistercien, il recherche l’amour du Christ par la mortification la plus dure. Il fait preuve, toute sa vie, d’une activité inlassable pour instruire ses moines, pour émouvoir et entraîner les foules, pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l’Église catholique mettront en œuvre. C’est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque, marquée par une profonde transformation de l’économie, de la société et du pouvoir politique. Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l’Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. Avec son Éloge de la Nouvelle Chevalerie il dresse ici le portrait des Templiers et leur mission, une chevalerie destinée à défendre les lieux saints et la justice. Commander le livre Éloge de la Nouvelle Chevalerie

  • L’Esthétique des Batailles : De l’Antiquité à la période moderne

    8,12 

    Tout le pittoresque et toute la poésie des batailles qui séduisaient tant les imaginations de nos pères se sont-elles retirées de nos luttes contemporaines pour ne nous en laisser que toute l’horreur ? L’appareil de plus en plus scientifique du combat, le rôle de plus en plus intellectuel du combattant, ont-ils tari les sources où puisait le peintre, en même temps qu’ils ouvraient une voie plus profonde au psychologue, au romancier ? Telle est la question que se posent les admirateurs de nos vieux peintres militaires. Pour l’éclaircir, nous allons examiner les principales représentations du combat autrefois et aujourd’hui, et tâcher de déterminer ainsi la beauté plastique de la lutte, les conditions de cette beauté, quelque chose comme l’Esthétique des batailles. Commander le livre

  • La Guerre en Flandre : Vue par un journaliste Américain

    8,20 

    Les correspondants militaires, seuls, peuvent avoir une vue d’ensemble, contemporaine des événements. Jusque vers la fin du XIXe siècle, ils formaient une corporation de spécialistes que les journaux puissants, les revues riches se disputaient à prix d’or. Dès qu’un conflit, quelque part dans le monde, mettait des armées en présence, ils accouraient pour observer et décrire au jour le jour. La Guerre en Flandre est le résumé tout chaud des observations faites d’après nature… Commander le livre

  • La popularité de Napoléon

    6,00 

    Napoléon s’est merveilleusement acquitté de la seule mission qu’il eût reçue du ciel, celle de préparer le terrain pour un lointain avenir. Foudroyant symbole de l’égalité révolutionnaire et du droit souverain du génie, le soldat-roi résumait dans sa personne les idées même qu’il avait vaincues, et dont il aspirait la sève. Deux choses sont donc à distinguer dans Napoléon, deux choses qui donnent la clé de tant de jugements incohérents, de tant de contradictions apparentes : sa mission et sa politique, son œuvre et sa volonté. Par l’une, il marcha toujours vers le but assigné à sa vie, lors même que par l’autre il sembla vouloir s’en détourner. C’est pour cela que l’instinct du peuple l’absout dans ses fautes et le glorifie jusque dans ses abaissements. Le sceau de la Providence est sur cette tête ; elle est sacrée pour l’humanité tout entière. Commander le livre

  • Le rôle colonial de l’armée

    8,20 

    Le soldat se montre d’abord soldat, ainsi qu’il est nécessaire pour en imposer aux populations encore insoumises ; puis, la paix obtenue, il dépose les armes. Il devient administrateur…Ces fonctions administratives semblent incompatibles, au premier abord, avec l’idée qu’on se fait du militaire dans certains milieux. C’est là cependant le véritable rôle de l’officier colonial et de ses dévoués et intelligents collaborateurs, les sous-officiers et soldats qu’il commande. C’est aussi le plus délicat, celui qui exige le plus d’application et d’efforts, celui où il peut révéler ses qualités personnelles, car détruire n’est rien, reconstruire est plus difficile. Commander le livre

  • Le rôle social de l’Officier

    5,00 

    Nul n’est mieux placé que l’officier pour exercer sur ses subordonnés une action efficace. En contact immédiat avec eux, il partage entièrement leurs travaux, leurs fatigues, et n’en tire néanmoins aucun profit. Son gain ne dépend pas, comme celui des industriels, de la peine de ses hommes. Leurs intérêts sont, non plus opposés, mais semblables. L’autorité dont il est investi repose sur la loi, elle a une sanction légale, elle échappe à toute discussion, à tout compromis. Lui-même est soumis à cette discipline inflexible. Des règlements précis fixent la limite de ses exigences professionnelles. Tout concourt à dégager son indépendance personnelle et le désintéressement de son action. Maréchal Hubert Lyautey. Commander le livre

  • Paroles de Combattant

    10,50 

    Le panache, ils l’ont tous, quand une attaque sérieuse est proche, quand il faut sortir en masse des tranchées pour livrer la bataille qu’ils espèrent décisive. Ils courbent le dos, mais contractent les mâchoires sous les tempêtes apocalyptiques des préparations d’artillerie. Beaucoup se montrent gouailleurs, la plupart plaisantent comme chante l’enfant qui traverse tout seul un bois pendant la nuit. Quand tombe l’excitation de la lutte imminente ; ou présente, ou passée, ils se retrouvent seuls avec leurs soucis. Ils « tiennent » parce que : « il faut tenir ; » ils sont conscients de leur sacrifice, mais ils l’acceptent avec une froide et tenace volonté. Ils sont résignés, mais non moroses ; ils grognent, mais ils ne geignent pas. Ils subissent tous les événements futiles ou tragiques avec une placidité presque toujours déconcertante, une raillerie souvent spirituelle, un égoïsme parfois contrarié par de touchants élans du cœur. Ils trouvent que la guerre est longue, mais ils ne se résoudraient pas à rentrer chez eux en laissant la tâche inachevée. Commander le livre

  • Un Soldat de Verdun

    4,60 

    « Messieurs, Verdun est menacé. Vous êtes à Verdun et vous êtes la brigade de Verdun… Je n’ai pas à vous cacher la vérité. Nous avons été surpris… Je n’ai pas à vous cacher les fautes. Nous avons à les réparer…Le secteur que nous prenons ? Un chaos… La vie qui nous y attend ? La bataille… Les tranchées ? Elles n’existent pas… Ne me demandez pas de matériel. Je n’en ai pas… Des renforts. Je n’en ai pas… Bon courage, Messieurs… » Connaissez-vous dans toute l’histoire militaire une harangue où frémisse plus douloureusement la grande âme d’un chef donnant à des gens de cœur ce simple mot d’ordre : « Faites-vous tuer ! » Commander le livre Un Soldat de Verdun