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  • Éloge de la Nouvelle Chevalerie

    6,50 

    Bernard, supérieur de l’abbaye de Clairvaux, né en 1090 à Fontaine-lès-Dijon et mort le 20 août 1153. Directeur de conscience et important promoteur de l’ordre cistercien, il recherche l’amour du Christ par la mortification la plus dure. Il fait preuve, toute sa vie, d’une activité inlassable pour instruire ses moines, pour émouvoir et entraîner les foules, pour élaborer un dogme militant que son ordre et toute l’Église catholique mettront en œuvre. C’est aussi un conservateur, qui fustige les mutations de son époque, marquée par une profonde transformation de l’économie, de la société et du pouvoir politique. Mort en 1153, il est canonisé dès 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux. Il est déclaré Docteur de l’Église catholique en 1830 par le pape Pie VIII. Avec son Éloge de la Nouvelle Chevalerie il dresse ici le portrait des Templiers et leur mission, une chevalerie destinée à défendre les lieux saints et la justice. Commander le livre Éloge de la Nouvelle Chevalerie

  • Homélies sur les gloires de la Vierge Mère

    7,90 

    Vous êtes bénie entre toutes les femmes et le fruit de vos entrailles est béni.« En entendant l’Ange parler ainsi, Marie fut troublée de son langage, et elle pensait en elle-même ce que pouvait être cette salutation (Luc, I, 29). » Les vierges, qui sont véritablement vierges, sont naturellement timides et ne se croient jamais en sûreté. Alors l’Ange, considérant la Vierge et remarquant sans peine qu’elle était intérieurement en proie à des pensées bien différentes, dissipe ses appréhensions, chasse ses doutes, et, l’appelant familièrement par son nom, il lui dit avec bonté de ne rien craindre, « Ne craignez point, Marie, lui dit-il, car vous avez trouvé grâce devant Dieu (Luc, I, 30). » Commander le livre Homélies sur les Gloires de la Vierge Mère

  • Saint Bernard

    6,90 

    Parmi les grandes figures du moyen âge, il en est peu dont l’étude soit plus propre que celle de saint Bernard à dissiper certains préjugés chers à l’esprit moderne. Qu’y a-t-il, en effet, de plus déconcertant pour celui-ci que de voir un pur contemplatif, qui a toujours voulu être et demeurer tel, appelé à jouer un rôle prépondérant dans la conduite des affaires de l’Église et de l’État, et réussissant souvent là où avait échoué toute la prudence des politiques et des diplomates de profession ? Quoi de plus surprenant et même de plus paradoxal, suivant la façon ordinaire de juger les choses, qu’un mystique qui n’éprouve que du dédain pour ce qu’il appelle « les arguties de Platon et les finesses d’Aristote », et qui triomphe cependant sans peine des plus subtils dialecticiens de son temps ? Toute la vie de saint Bernard pourrait sembler destinée à montrer, par un exemple éclatant, qu’il existe, pour résoudre les problèmes de l’ordre intellectuel et même de l’ordre pratique, des moyens tout autres que ceux qu’on s’est habitué depuis trop longtemps à considérer comme seuls efficaces, sans doute parce qu’ils sont seuls à la portée d’une sagesse purement humaine, qui n’est pas même l’ombre de la vraie sagesse. Commander le livre

  • Traité de L’Amour de Dieu

    9,90 

    Vous voulez donc apprendre de moi pour quel motif et dans quelle mesure il faut aimer Dieu? Eh bien, je vous dirai que le motif de notre amour pour Dieu, c’est Dieu lui-même, et que la mesure de cet amour, c’est d’aimer sans mesure. Est-ce assez explicite? Je dis que nous devons aimer Dieu pour lui-même; il n’est rien de plus juste, il n’est rien de plus avantageux. Si donc en demandant quel motif nous avons d’aimer Dieu, nous recherchons quel droit il s’est acquis à notre amour, nous trouvons tout d’abord qu’il nous a aimés le premier. Il mérite donc que nous le payions de retour. Quel est en effet celui qui nous aime? N’est-ce pas celui à qui tout esprit rend ce témoignage. Commander le livre

  • Traité de La Grâce et du Libre Arbitre

    8,20 

    Comme je parlais un jour en public, et que je me reconnaissais redevable à Dieu de m’avoir prévenu dans le bien, du progrès que j’y faisais et de l’espérance que j’avais de le conduire à la perfection, un des assistants me dit : “Je veux, que vous rapportiez toute la gloire de ce que vous faites à Dieu, qui vous a prévenu avant tout mérite de votre part, qui vous a excité et vous a fait commencer, et, après cela que vous viviez de manière à vous montrer reconnaissant des grâces que vous avez reçues et digne d’en recevoir de nouvelles”. Votre conseil est très-bon, lui repartis-je, mais vous devriez me donner en même temps le pouvoir de le suivre ; car il est plus facile de savoir ce qu’il faut faire que de le faire. Commander le livre