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  • Ce que l’Art doit à Napoléon

    7,70 

    Il faut donc reconnaître qu’il y a eu un art de l’Empire, et que cet art est dû à l’Empereur, tout autant, sinon plus, que l’art de la Renaissance est dû à Jules II, à Léon X ou à aucun des Mécènes de ce temps. Il n’a pas créé ses artistes, non plus que les Papes et les princes italiens n’ont créé les leurs, mais il a dirigé le peu de génie qu’il a trouvé autour de lui dans la voie où il pouvait le mieux déployer ses forces. Il ne lui a pas fixé de lois esthétiques, mais il l’a libéré. À cette école française, qu’il trouvait fourvoyée par les Allemands dans la superstition la plus pédantesque et la moins compréhensive qui fut jamais des formes et des héros antiques, il a dit: « Nous sommes là, nous autres ! » et cela suffit. Il l’a fait rentrer dans le siècle et en France. Commander le livre

  • L’Art Français : Origines, Art Roman et Art Gothique

    13,50 

    À l’époque préromane la Gaule romanisée s’affirme comme l’héritière de l’Antiquité et du Christianisme.
    L’expression première de notre art national, au XIe etXIIe siècles, est l’Art Roman il se caractérise principalement par un aspect massif des édifices et une grande sobriété des lignes. Ce que l’Art Roman attendait et pressentait, l’Art Gothique le réalise. Une pureté, une perfection de réalisation qui lui ont valu son rayonnement immense et une sorte de pérennité.
    Architecture et vitrail, peinture, sculpture. Dans ce récit passionnant l’auteur nous emmène à travers l’histoire et les arts. Un livre accessible et complet pour découvrir la splendeur de l’Art Français.
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  • La Joconde et le Mystère de l’éternel féminin

    8,02 

    Au solstice de l’âge mûr, le mystère de l’Éternel-Féminin se dressa devant lui en la personne de Mona Lisa. Aussi troublante qu’éblouissante fut la lumière qui jaillit pour lui de ce miroir magique. Car il parut, aux yeux de l’homme et de l’artiste, que ce mystère contenait les deux autres et les contre-balançait dans son équilibre instable. La Joconde devint ainsi le nœud gordien de sa vie intérieure et de ses plus hautes conceptions.On se figure aisément ce qu’éprouva Léonard à sa première rencontre avec Mona Lisa. Ce fut sans doute une surprise violente, accompagnée d’un profond émerveillement et d’une dilatation subite de son être. Il avait étudié bien des types féminins, il avait connu et portraituré les femmes les plus distinguées de l’époque, celles que les poètes contemporains appelaient les héroïnes du siècle. Il avait rencontré de somptueuses courtisanes d’une perversité séduisante et raffinée, il avait effleuré des vierges candides et suaves, dignes de servir de modèles à ses madones. Mais jamais il n’avait rencontré de femme pareille à celle-ci, capable de produire par sa simple présence une commotion aussi forte. Commander le livre